Je ne suis pas d’accord. L’avortement n’est pas un acte médical comme les autres. L’avortement est un sacrement. Sans subir un avortement rituel en bonne et due forme et sans offrir l’avorton en holocauste sur un digne autel à Saturne on n’entre pas dans la religion de la sorcellerie éternelle. Seule une druidesse, ou un médecin femme initié par une druidesse, devrait être habilité à pratiquer un acte aussi déterminant dans la vie d’une femme que la prise de possession de son propre corps. Sans subir un avortement, on ne devient pas juive non plus, car le sacrifice du foetus est à la femme ce que celui du prépuce est à l’homme. Il est d’autant plus impossible de se faire juive sans ce sacrement qu’un juif par définition est la personne qui a eu pour mère ou pour maîtresse initiatrice une juive ou mieux encore, idéalement, une sorcière. Une sorcière de quelque race qu’elle soit, de quelque tradition qu’elle provienne, fût-elle noire comme l’ébène et n’eût-elle pratiqué que le vaudou, ne peut jamais engendrer que des juifs. Au bout de peu de générations on devient blanc comme juif hassidique et plusieurs grands pays africains ont l’espoir de se décolorer ainsi. C’est ainsi que non seulement le peuple juif s’est formé mais l’ensemble de la race blanche, car un aryen n’est nul autre que celui qui a eu pour père un aryen ou mieux encore idéalement un juif. Nul n’est juif sans frère en holocauste aîné, idéalement avorté aux mains de la mère sorcière.