Israël : le chaînon manquant dans le puzzle syrien
2 septembre 2013 12:28, par eric
...D’ailleurs,si j’ai bien compris, certains plumitifs officiels ont cru bon de définir une echelle de valeur dans l’horrible en décretant une"ligne rouge"au dela de laquelle le vecteur qui amène la mort devient inacceptable.Le sarin est donc,selon eux,le summum de la barbarie...Du pauvre.
Le sarin est un fugace.Ni semi persistant,ni persistant.
L’agent orange balancé généreusement par l’oncle Sam sur la gueule des viets il y a bientôt un demi siecle fait encore des victimes aujourd’hui(gosses malformés,etc)et l’uranium appauvri qui à remplacé le tungstène(qui sert maintenant à fourrer les lingots"bounty" ?)punira aussi les descendants de Serbes,d’Irakiens,de Lybiens etc etc.Bref,de tous ceux qui vivent sur les théatres d’opérations ou ces munitions ont été tirées.Ironie du sort,certains"tireurs"en ont même fait les frais en allant"au résultat"sur des chars Irakiens par exemple(ceux la,je sais que vous allez pas les plaindre.Moi si...).
Tout ça pour dire que même leur "échelle de l’horrible" est
tronquée,partiale.Que pour punir un acte"horrible",on va balancer bien pire et que bientôt,les Syriens regretteront le"bon vieux temps"ou juste une génération crevait en se tortillant et bavant.
"Enfants,profitez de la guerre,la paix sera terrible"Je commence à comprendre ce qu’il voulait dire...