Syrie : défaite de l’Occident ?
1er septembre 2013 14:43, par Capitaine
Oui, ne nous réjouissons pas trop vite.
On sait quant, et parfois pourquoi une guerre commence, mais on ne sait jamais quant et comment elle s’achèvera...
Il faut bien séparer les aspects militaires, politiques et financiers. Mamon est l’agresseur, son bras armé n’est rien moins que le premier arsenal du monde, et de loin... Mais il n’a pas la maîtrise absolue de l’énergie, même s’il n’en est pas dépourvu, et le reste du monde n’est pas sans atouts. Je dis le reste du monde car je pense qu’il est inexact et prématuré de parler d’adversaires ou d’ennemis à ce stade : ce conflit, si ardemment désiré par quelques-uns, semble destiné à durer très longtemps, tout comme la guerre civile européenne de 1914-1945 qui n’est qu’un seul et unique conflit même s’il est communément présenté sous forme de deux guerres mondiales.
1814-1815, 1914, 2014 ? Fin d’un cycle et début d’autre chose ? Dominique Venner, entre autre, avait bien pressenti la chose et l’avait couché sur le papier.
La folie de certains hommes n’a cure du malheur des autres : plaignons le malheureux peuple Syrien qui n’a pas fini de souffrir. Et prions pour que ses souffrances soient sublimées et contribuent à l’émergence d’un monde vraiment meilleur, débarassé des antiques et obscures chimères talmudo-corano-bibliques.