Le prêt à intérêt, source profonde de l’antisémitisme ?
24 août 2013 10:39, par Zeorzes Abitbol
Sur la puissance et la perte de puissance évoquées par Attali et citées d’ Anna Arendt, il s’agissait de la puissance politique de l’aristocratie Française à partir de Louis XIV qui, pour les raisons que l’on sait, s’était condensée à Versailles et donc coupé de sa représentation ostentatoire dans les provinces. L’exemple est cité à tort par Attali, qui dans une autre vidéo sur le pantalon à une jambe, était plus prés de la puissance de plus en plus ostentatoire de certains de sa communauté sur le dos de ses victimes.
Tout est faux dans l’analyse d’Attali et apparaît pour de la propagande sur internet suite à sa prestation sur le fameux "pantalon à une jambe" qui a du lui attirer les foudres de sa communauté pour une telle franchise involontaire.
Quant au XIX éme siècle, c’est celui de l’envol spectaculaire de la puissance financière et politique de la communauté juive. Si Attali avait mieux lu, ou lu, Anna Arendt, le sujet est clairement exposé dans son livre cité : Le totalitarisme, son origine et ses causes (à lire avec circonspection). Livre où il est malgré tout exposé quelques vérités qu’Attali se garde bien de citer : La volonté des élites financières juives que les états-nations du XIXéme n’accordent pas la citoyenneté aux juifs du peuple dans le but de conserver leurs privilèges, et l’implication des élites religieuses et politiques juives dans la shoah. Vérités qui lui avaient valu les foudres de sa communauté au titre qu’un(e) juif(ve) n’a pas le droit de critiquer un autre juif.