Nous pouvons déplorer la disparition d’un "grand homme", un de ces hommes qui ne transige pas avec le fait que TOUT HOMME, doit être traité avec DIGNITE. La DIGNITE pour lui est plus importante que LA VIE (voir son entretien sur le net, réalisé par la chaine KTO). A quoi bon vivre s’il faut vivre sous la botte d’un maître, et cela au nom de n’importe quelle idéologie. C’est ainsi que nous le voyons, par respect pour la nature humaine, défendre des soi-disant "indéfendables" et en cela il n’excusait pas le mal de leurs actions, mais il cherchait à comprendre de quoi peut se rendre capable un homme, n’importe quel homme, sous l’influence d’une idéologie fusse-t-elle celle des pseudos droits de l’homme, si perverse en tant qu’elle exclut quantité d’hommes comme ce fut le cas dans l’histoire de l’esclavage. Il disait notamment que qualifier certains de ces grands criminels de "monstre" les faisaient sortir ipso facto de l’humanité et permettait, de ce fait, à certains de se donner bonne conscience à peu de frais tout en évitant de se poser des questions essentielles et ainsi "comprendre comment le mal peut s’emparer de l’homme, et notamment l’homme moderne déraciné du "ciel" et non comme le disent certains de sa terre, détaché de toute tradition authentique et sacrée ou religion et suivant aveuglément des idéologies sataniques. Une telle prise de conscience déboucherait, et cela il ne le veulent pas, sur une mise en question de la soi-disant civilisation moderne. On voit le même processus à l’oeuvre quant l’on attribue la responsabilité de certains actes au "gene" de l’individu en question ce qui sous entendrait également, une pseudo hiérarchie des races, les génétiquement "purs et bons" et les autres, qu’il faudrait sans doute euthanasier, théorie subrepticement véhiculée par Jacques Attali. L’euthanasie est bien née du nazisme qui prônait la "hiérarchie raciale", la "pureté de sang", etc... empruntée au judaïsme sécularisé par le sionisme et ré-acclimatée à la mode néo-païenne et darwinienne.
Cordialement,
Anissa