Frédéric Lefebvre veut "éradiquer la propagande antisioniste" sur Internet
17 juillet 2013 10:48, par Il est pas content papa
La révocation de la Résolution 3379 constituait l’une des conditions d’Israël pour sa participation à la Conférence de Madrid de 1991 qui a ouvert la voie aux discussions de paix qui conduisirent aux Accords d’Oslo de 1993 et au traité de paix israélo-jordanien de 1994.
Le libellé de la Résolution 46/86 est l’un des plus courts dans l’histoire des Nations unies :
« L’Assemblée générale décide d’abroger la décision contenue dans sa résolution 3379 du 10 novembre 1975. »
Le président des États-Unis George H. W. Bush avait lui-même présenté la résolution par ces mots :
« Le sionisme n’est pas une politique ; c’est l’idée qui a conduit à la création d’un foyer pour le peuple juif, à l’État d’Israël. Et assimiler le sionisme avec le péché intolérable revient à déformer l’histoire et oublier la terrible détresse des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale et, en fait, tout au long de l’histoire. Assimiler le sionisme au racisme revient à rejeter Israël lui-même, un membre en règle des Nations unies. Cette organisation ne peut prétendre rechercher la paix et en même temps défier le droit d’Israël d’exister. En révoquant inconditionnellement cette résolution, les Nations unies rehausseront leur crédibilité et serviront la cause de la paix1. »
En dépit de sa révocation, la rhétorique de la Résolution 3779 assimilant le sionisme au racisme continue de retentir jusqu’à ce jour, notamment dans des assemblées de l’ONU comme la Conférence de Durban contre le racisme en 2001 et dans la campagne de boycott, désinvestissement et sanctions (BDS). "wiki".
ONU.....c’est encore dieudo qui en parle le mieux je crois