Un internaute s’étonnait qu’on expulse des travailleurs qui paient un loyer pour accueillir des demandeurs d’asile sans le sou.
Evidemment vous l’aurez compris, ils ne dépenseront pas un centime sinon ils ne demanderaient pas asile ( pas fous quand même). Par contre ils ont de beaux sourires arrogants accrochés à leurs visage d’anges, de belles tablettes dernier cri et des i phones et sont pour la plupart véhiculés.
J’entends dans les pensées " encore des fachos !"
Je pose la question suivante : Si nous étions expulsés pour accueillir des luxembourgeois, des belges ou des suédois, pensez- vous que nous aurions été ravis pour autant. Je suis curieux de savoir quelle étiquette on nous aurait coller sur le front.
Mais accrochez-vous bien : Le centre d’accueil reçoit de l’état, pour les héberger, des sommes bien plus intéressantes que les 360 euros de loyer.
Si certains d’entres vous on vécu ou vivent la même mésaventure qu’ils n’hésitent pas s’ils le peuvent, à se rendre au foyer de Clacy. Qu’on me cite une seule nation en temps de paix au monde dans l’histoire de l’humanité qui a expulse ses citoyens pour laisser place à des demandeurs d’asile dans un tel contexte économique et je ferme ma gueule.
Fait-il bon vivre dans un pays où l’on peut brûler impunément le drapeau français symbole de la république, où toute une famille de géorgien peut lyncher un boxeur sur le ring parce q’il a mis KO le cousin, où l’on peut passer à tabac un usager du tramway à Reims parce qu’il s’est préparé un sandwich au jambon et qu’étant, musulman on a considéré cela comme une provocation, où l’on peut faire tout cela sans risquer plus que le pauvre citoyen qui va ramasser une amende parce qu’il n’a pas payer son ticket de parking. Et si vous osez dire que tout cela n’est pas normal on vous fait culpabiliser en vous taxant de racisme.
J’entends souvent "la révolution est proche" etc...
Ce qui nous différencie de nos prédécesseurs morts dans la rue pour leur pays et leur liberté c’est qu’ils n’avaient plus rien à perdre. Ils étaient dépossédés de tous leurs biens. En France nous ne sommes pas prêts, trop de chose à perdre ( les crédits la maison le travail etc) . Il faudra, je pense, au train où évoluent les choses encore une génération ou deux pour engranger la détermination nécessaire. Peut-être sera -t-il trop tard.
Moi je suis prêt.
Je remercie chaleureusement ceux qui se offrent leurs toits. Même si Lyon est un peu loin. A bientôt