Scandale à Laon : douze Français expulsés du Foyer des jeunes travailleurs pour laisser la place à des clandestins
2 juillet 2013 03:02, par goy pride
Ces foyers de Jeunes Tavailleurs ont toujours été un mystère pour moi ! On y trouve de tout sauf des travailleurs ! Bon j’exagère un peu mais il y a une drôle de faune cosmopolite qui laisse perplexe car on se demande comment ces gens qui n’ont rien de travailleurs pour beaucoup d’entre eux et parfois pas même jeunes ont pu se qualifier pour obtenir une piaule là-dedans ! On y trouve des étudiants asiatiques, des skinheads ayant fait du chômage à vie une vocation, des chibani retraités, des Roumains, des maghrébins trafiquant de shit, des demandeur d’asile...d’ailleurs il existe dans ses foyers un système d’apartheid. Par exemple dans la région lyonnaise les jolis foyer tout propre à la façade repeinte étaient (ou sont encore) réservés aux étudiants asiatiques, à quelques noirs "bien sur eux" et un ou deux Français de souche souvent issu de la mouvance skinhead mis en colocation avec des asiatiques (l’asiat’ ne s’est pas ce qu’est un skin et en a rien à foutre, quant aux skins ils s’en branlent des asiat’...)...les foyers tout propre étaient aussi prioritairement accordés aux filles. D’autres foyers, les plus miteux, presque délabrés, étaient réservés au chibani (vieux arabes), Roumains, Noirs et Maghrébins "louches" aux apparences de blédards...jamais vu une gonzesse là dedans. Dans les foyers "chics" c’était plutôt calme sauf quand l’occasionnel skins rameutait ses potes pour faire une fiesta avec beuverie jusqu’au coma éthylique...les foyers "pourris" ça courent dans tous les sens, ça hurlent, ça grouillent de monde partout...on se croirait dans un souk oriental...
C’est mon expérience de ces étranges foyers dits des jeunes travailleurs dans lesquels je errais durant une période de ma vie quand je baisais une gonzesse qui vivait dans l’un d’entre eux ! Que de bons souvenirs dans ces foyers ! Bonne baise et deux petites bastons mémorable avec des skins dont une ayant fini avec couteau de boucher appliquer sous la gorge d’un de mes opposants étalé à moitié conscient dans les escaliers... Que du bonheur cette époque ! Ah ! Ah !