Je vois que beaucoup d’entre vous sont un peu déboussolés de voir les médias relayer tranquillement l’inexorable montée en puissance de Marine Le Pen.
Certains ont l’humilité d’avouer n’y rien comprendre, d’autres pèchent par orgueil en feignant de tout comprendre.
Clarifions : Jean-Marie Le Pen n’était rien d’autre qu’un seigneur.
Il avait passé un accord avec le monarque (Mitterand) qui lui octroyait le fief des patriotes en colère.
Comme tout bon seigneur, il cajolait ses troupes en les gratifiant de certains bons mots qui permettaient du même coup au Roi et ses relais de brandir la menace fasciste afin que l’électorat restât sagement dans les clous, ceux-là mêmes qui le crucifiaient sur l’autel de la rigueur et de la politique ultra-libérale du Parti Socialiste.
Marine Le Pen, elle, veut devenir Reine.
Et elle sait pertinemment que pour cela elle doit faire allégeance à la puissance sioniste et se faire coopter par la maçonnerie.
On aurait peine à croire qu’un chef de parti prônant la souveraineté territoriale, financière, économique et politique retrouvée de la France, une apologète de la nation comme bouclier face au déferlement du mondialisme, puisse convaincre l’élite maçonnique, mondialiste et financière de mériter monter les marches du pouvoir jusqu’au trône.
Et pourtant : le tentacule médiatique qui faisait carrière d’avilir l’image et les membres de ce parti, maintenant mise au parfum par leur maîtres, va subrepticement infléchir sa politique de criminalisation du même parti.
Vous en voyez déjà les prémisses, ne vous en étonnez pas.
La raison en est simple : le Parti Socialiste étant maintenant au su de tous corrompu jusqu’à la moelle, le poulain Copé étant indigeste pour l’opinion et le traître en chef ayant décidément trop de casseroles au cul pour revenir, l’oligarchie a décidé de contrôler le FN par la tête, sachant sa victoire inexorable.
Bien sûr, il y a toujours la carte du troisième homme au deuxième tour (Fillon au Bilderberg ) mais ils savent bien qu’il faut malgré tout avoir le contrôle des deux poulains, puisque le but est que quelque soit le candidat, la Banque gagne toujours.