De l’indigence du scientifique quand il croit parler de politique
28 mars 2013 10:08, par BennuHENRI LABORIT fut le premier à découvrir l’antidépresseur , mais disait avec sagesse que l’avenir de l’espèce ne se trouvait pas dans la pharmacopée. Bien qu’il gagna bien sa vie, il avait conscience que c’était principalement le prolétaire qui serrait les boulons à l’usine qui était la cible de son antidépresseur, car les riches n’étaient pas ses clients, car généralement peu stressés.
Il m’était l’accent de bien baiser pour rester en bonne santé.
J’ai beaucoup d’admiration pour ce type car il m’a beaucoup aidé, lui ,et Alain watts, à me découvrir. Il disait, à juste raison, que les hommes ne connaissent pas le maniement de leurs cerveaux et que tout changement était illusoire. Que ce soit politiquement, scientifiquement ou socialement, l’individu lutte toujours contre les effets et amoureux des causes premières.
Les aveugles dirigent les aveugles dit le dicton.
De tout temps l’homme s’est fait la guerre pour éviter le suicide, car il ne s’est pas rester seul en sa compagnie. De nos jours nous avons la compétition industrielle comme dérivatif à nos problèmes métaphysiques et existentiels.
Il disait que la révolution française était le fait de gens jaloux et que la première devise républicaine fut : Egalité, fraternité Propriété, mais fut vite oubliée, car cela faisait désordre. Il fustigeait déjà , à son époque, la devise républicaine sur l’égalité des chances d’avoir un travail.
Je dois dire que je ne mange pas de viande depuis plus de 15 ans car j’ai compris que l’animal est plus stressé que l’homme, et est un bon client pour les cartels pharmaceutiques .je n’ai jamais pris de médicaments depuis mes dix-huit ans, j’en ai 55 maintenant, donc pour être en harmonie avec ma philosophie et ma connaissance intrinsèque que la théorie du terrain supplante la théorie du microbe, je suis devenu végétarien, par respect de la souffrance animale. Tout cela pour dire que je comprends Laborit le chercheur et ses expérimentations sur les animaux. C’était avant tout un humaniste et un grand philosophe. Je dois dire aussi que j’ai plus d’amour pour les êtres humains que pour les animaux.
A l’heure actuelle, il y a une hypocrisie à chérir son animal domestique et laisser crever ses frères humains
Henri Laborit fut un grand monsieur qui restera à jamais dans l’inconscient collectif, à l’inverse des politiciens.