Paradoxalement, ce qui me choque le plus, est le mot d’ordre d’Albert Ali : immigration intérieure ou les musulmans à l’assaut de ce qui reste de campagne en France. Albert, Ali, personnage sympathique au demeurant, a t-il conscience qu’il cautionne le remplacement de population jusqu’aux tréfonds de l’âme du pays : ses campagnes et ses paysans. Il parachève, peut être sans en prendre conscience, l’objectif du grand patronat traître et apatride : détruire la nation Française jusque dans ses racines. D’ailleurs il est révélateur que soit abordé l’émigration des Français et l’immigration massive d’étranger.
Monsieur Albert Ali finalise la captation par des étrangers d’un pays qui leur a été servi par des scélérats au détriment de la population de souche. Le retour à la campagne s’effectue en France, pays riche, mais monsieur Ali n’envisage pas le retour dans les Aurés, beaucoup moins séduisant, alors que c’est vers leur pays d’origine que les immigrés devraient se diriger. Le "patriotisme" de Monsieur Albert Ali flirte dangereusement avec les intentions du grand patronat et des ligues "communautaires".