Sexualité des enfants : où s’arrêtera Libération ?
20 janvier 2013 17:40, par Dédé le mokoBonjour ou bonsoir,
Cet imbroglio métaphysique moderne insufflé par nos plouto-oligarques ne date pas d’hier, il est seulement monté au pinacle aujourd’hui, donc plus éclatant. Quoi de mieux qu’une désociétalisation et déculturation "progressive" pour mieux appliquer une gouvernance globale lorsque originellement l’harmonie sociologique est de mise ?
Par ailleurs, lorsque l’on remet les choses à leurs places discursives, donc en fonction de leurs vraies natures, cela en devient presque comique :
1-L’homosexualité n’est qu’une sexualité. C’est à dire un loisir qui peut aussi avoir une portée passionnelle dans un cadre amoureux, tout comme l’hétérosexualité. A cette différence près, que l’option reproduction de l’espèce n’existe pas dans l’homosexualité. Donc, l’adoption infantile est malapropos car contre-productive dans le processus global de perpétuation de l’espèce. Ce n’est que du bon sens anthropologique et non de l’homophobie. En fait, ce n’est même pas de l’ordre de l’homo-critique.
2-Gay est une sous-culture ou contre-culture ou culture parallèle (au choix ou les trois), où la sexualité dominante est homo. Mais il n’est pas dit que la tendance ne change pas. Dans le cadre du mariage, qui primo est une institution religieuse et par extension républicaine ; et étant donné que la république telle qu’on la connait est d’inspiration "naturalismo-Diderotélitienne" entre autres ; unir officiellement deux personnes de sexes opposés c’est implicitement rendre hommage civilisationnellement au mode opératoire que la nature offre à l’homme pour perpétuer son espèce. Ce qui ne concorde malheureusement pas avec la culture gay telle qu’elle est. Encore une fois, ce n’est ni homophobe ni même homo-critique, mais du logos analytique.
3-En ce qui concerne la sexualité enfantine, on sait pertinemment voir instinctivement que cela n’existe pas, auquel cas l’adolescence n’aurait pas lieu d’être. Cependant, il peut y avoir un sexo-simulacre mimétique chez beaucoup d’enfants dus à leurs environnements respectifs, mais cela ne constitue en aucun cas une preuve empirique d’unedite sexualité. Donc, demander à l’enfant de choisir son "genre" est absurde, au delà de l’aspect moral.
Le but, par déduction, à mon humble avis, serait à long terme de contrôler les naissances par le biais exclusif in vitro obligatoire via l’annihilation séculaire tribale, et ainsi réduire les sexualités en simples produits de consommation comme le reste, dès la naissance. Sujétion totale...