Islande : chronique d’une révolution avortée
17 janvier 2013 14:04, par Jérémie
Rien ne m’étonne.
Le piège reste le même quand il s’agit d’écrire une nouvelle Constitution, car les moutons restent attachés au berger. Seul un peuple politisé peut avoir des chances de prendre en main son destin, c’est donc impossible avec nos “concitovins” (j’ai une tendance à dire : bien fait pour leur gueule s’ils sont exploités, contrairement à ceux qui ont le mérite de tenter de se mobiliser).
Ce n’est pas fini ! Le Nouvel (dés)Ordre Mondial perdure et avance encore temps qu’on continu de penser comme le Système nous l’a appris.