Les corps d’élite contaminés par la théorie du genre
19 novembre 2012 12:57, par Matthieu HAGUE
Documentaire intéressant, trois remarques :
une part d’inné et de biologique dans l’identité de soi-même, c’est indéniable, mais dans ce cas, cela ne voudrait-il pas dire que les transgenres ne font que se déplacer vers leur sexe inné/interne/identitaire, c’est à dire en accord avec leur biologie chimique, plutôt qu’avec leur biologie morphologique ? Et dans ce cas, ce serait la saturation hormonale et ses dérèglements qui serait la cause d’une "confusion des genres" actuelle : réglons notre alimentation.
Même avec des prédispositions (comme une taille de cerveau différente), c’est l’entretien de notre travail réflexif qui maintien notre intelligence dans la durée.
Le coup des "sociétés primitives", là non. Toute société évolue et mute. Les société qui n’ont pas développé l’écriture ou des moyens d’aller dans l’espace (pour vulgariser) ne sont pas primitives. Elles ont une sophistication AUTRE, qui ne nous semble pas EVOLUEE, mais qui l’est. Observer la musique du sous-contient indien : avec nos huit pauvres notes de musique, Mozart leur semble une musique primitive ou en tous cas simplette.