Franchement, pas besoin d’être diplômé en psychiatrie pour comprendre qu’un enfant élevé par deux parents du même sexe souffrira d’un trauma psy très profond.
Peu importe le déni de réalité et les pleurnicheries, un bébé a besoin d’un père et d’un mère pour exister. Un bébé qui a deux papas ou deux mamans finira toujours par essayer de retrouver son géniteur ou sa génitrice. C’est un besoin viscéral et qui malheureusement ne saurait être supprimé par les bons sentiments sirupeux des assos pseudo-politico-sociales qui poussent à l’adoption homosexuelle.
Moi même étant homo, j’ai eu un père et une mère à qui je dois mon éducation et mon cadre moral, même si il y a malgré tout eu cet "incident de parcours" freudien. Malheureusement, rien n’est parfait en ce bas-monde. Et c’est bien pour ça que je pense qu’ouvrir l’adoption aux lesbiennes (qui sont les premières sur la liste) et aux homos est une erreur fatale pour la suite des évènements.
Soral a très bien identifié le problème et en effet la grande majorité des homos ne veut ni mariage ni adoption ni rien du tout qui puisse dévoyer leur style de vie de son but originel : constituer l’exception qui confirme la règle.
Bref, si vraiment on en a qqchose à foutre des gosses, qu’on soit homo ou hétéro, on ne les considère pas comme des objets de statut ou des trophées mais comme des êtres humains à part entière et qui ont besoin du minimum vital niveau relationnel, à savoir un papa et une maman, pour devenir un adulte à peu près fonctionnel.