Le braquage des pauvres et du CIF par l’Etat et le système financier
16 septembre 2012 21:08, par Lore
Ma pauvre maman a eu la malheureuse idée (c’est quand même sa retraite et elle veut un petit bien) de prendre un petit appartement d’environs 75E (sans compter frais de notaire etc)dans un quartier pourri de Valence (elle ne le savait pas trop) pour 24 000E de crédit avec cette agence : résultat, sur les 4.7% indiqué, elle doit payer en fin de compte 10 000E d’usure (des 24 000 de capital), 10 000E qui sont bien sur de la dévaluation monétaire. Par ailleurs, décidant aujourd’hui d’entreprendre une démarche pour vendre son logement (le quartier étant trop désagréable (deeler, rodéo..etc)), l’agence lui fait savoir qu’elle ne peut rompre le crédit qu’en remboursant l’intégralité de l’usure dut, par le contrat, soit, encore une fois, 10 000E en plus de devoir prevenir 3mois à l’avance de l’acte. En réalité, le montant du versement à l’agence par l’usure n’est pas sur le capital de 4.7%, mais de plus du tiers du capital ! Le papier des remboursement est impressionnant, en faite, les 4% sont comptabilisé sur la somme du capital restant à payer, faite le calcule. Pus belle la vie