Le financement de la crise par l’appauvrissement des peuples européens
18 juillet 2012 18:54, par seber
@ Laurent 16. Très intéressant. Vous devriez ajouter vos commentaires à votre l’article. Je faisais la réflexion agacée il y a peu à propos des prédicateurs à deux balles, que nous relayons tout de même de temps en temps, mais dont Alain Soral est le seul à se démarquer car il reste dans un concret, très banal et très basique finalement et sait que les solutions sont extrêmement (et non pas extrêmes...) limitées.
La réalité est une donnée (?), un fait toujours très difficile à admettre pour une espèce qui a toujours pris ses désirs pour la réalité. j’y suis confronté tous les jours et je prends conscience de cela petit à petit même si c’était présent dans mon esprit depuis longtemps.
Cela n’empêche pas les à-coups, mais en regardant dans l’Histoire comme vous le faites, et tiens, prenons la deuxième guerre mondiale et ses hystériques "plus jamais çà" comme exemple (alors que la première était déjà...."la der des der"... amusant si je puis dire), ils ne provoquent rien, au contraire, ils s’imbriquent parfaitement dans la continuité du déroulement de celle-ci sur le long terme.
Ce que nous subissons et prévoyons se produira comme si c’était déjà écrit en quelque sorte. Il devient alors très difficile de rester motivé en ayant à l’esprit cet état de fait et rend précisément les moyens et la force nécessaire à toute évolution dérisoire ou insurmontable.
Effectivement, on tourne en rond et 1) on doit en prendre conscience, 2) trouver des solutions en étant capable de se voir de l’extérieur du "mange-disque" pour sortir du disque rayé.
Sans "âme" ou sans " foi", ce n’est pas gagné....