Trop de ces juifs "berbères", sortis de leurs ghettos maghrébins par la loi Crémieux (isaac-jacob crémieux "juif du pape"1796/1880) s’emparent et se drapent des oripeaux de la culture Française pour tenter de la sauver, comme Zemmour, ou de l’achever, comme B.H Lévi, occupent et orientent le terrain médiatique sur un postulat dissimulé aux public, mais fondamental : Français juifs ou juifs Français. La place qu’occupe israël est la ligne de démarcation mais jamais l’autonomie de la France par rapport aux juifs en général : d’où une collusion latente, des intérêts communs, une indéfectibilité des uns par rapports aux autres quelles que soient leurs orientations politiques. Juif d’abord, Français ou israélien ensuite.
La sur-représentation de juifs dans les médias, partis politiques, ligues et associations, façonneurs d’opinion et d’orientation politique, ne permet pas de dissocier les uns des autres, mais un seul constat demeure : qui représente la France ? le talmud ?