Personnellement, cette histoire avec NDA - chahuté par l’extrême-gauche en se faisait traiter de "facho" et de "nazi" - me rappelle l’histoire de l’arroseur arrosé !
 
Rappelons que ce dernier avait lui-même désigné Pierre Hillard comme appartenant à l’extrême-droite (il est évident qu’en tant que responsable de DLR, NDA utilise un discours plus évolué que les thuriféraires "gogochistes" qui le conspuent) et que son bras-droit, Laurent Pinsolle, en a fait de même avec Marine Le Pen et le FN ! Comme quoi, la recherche de respectabilité et de normalité républicano-démocratique (décernée notamment par les responsables du CRIJF), en pointant les autres du doigt comme étant les déviants, ne fonctionne pas ! Pas davantage, d’ailleurs, que ce que l’on appelle le "pouvoir du verbe", tactique qui constitue à étiqueter de manière déplaisante et injurieuse une personne avant que cette dernière ne le fasse !
 
Pour paraphraser Alain Soral, "le mot fasciste est à la politique, ce que celui de pédé est à l’automobiliste" ! En gros, une invective totalement vide de sens et galvaudée ! De plus, "le point Goodwin" - et son fameux "Reductio ad Htilerum" - est, dans ce cas de figure, très vite atteint car les opposants de NDA, au cours de cette manifestation, possède le QI d’une huitre ! Et de plus pour les besoins médiatiques, ils doivent faire court et efficace (ce qui les arrange d’autant).