Jean-Marie Le Pen et le clin d’oeil à Alain Soral ?
25 janvier 2012 12:49, par fifty miles
Les propos de J.M Le Pen sur la fondation du F.N axée sur l’anti-communisme montrent que n’est pas de Gaulle qui veut, la bi-polarité était fondamentale pour l’indépendance Française(non exclusif)
Ce qu’il dit de la stigmatisation fasciste portée à l’époque par ses adversaires communistes et reprise par le lobby qui n’existe pas, révèle bien la part grandissante prise par celui-ci dans la vie politique inversement proportionnelle avec la disparition du communisme.
L’aspect le plus pervers de cet interview se situant dans la volonté de faire désavouer le père par la fille et la fille par le père, tchouzpa infondée et intensivement entretenue par l’hégémonie médiatique du lobby inexistant .
La diabolisation médiatique (et comme l’avouait Drucker, qui tient le médiatique tient le politique ) du F.N est un enfermement difficile à contourner car nécessitant de révéler qui tient la clef du camp de rétenSion, révélation qui serait suivie d’un battage médiatique à l’antisémitisme sans précèdent relayé à l’international. Donc toutes attaques contre le FN sont permises, toute défense doit être mesurée. J.M et M. le Pen sont devenus par survie des virtuoses de la précaution sémantique. Dans cet espace réduit, J.M tire calmement profit pour énoncer quelques vérités.
La volonté de faire apparaitre les deux dirigeants F.N comme honteux et soumis à Sionland structure l’ensemble des assertions. La recette fonctionne également à l’égard du peuple Français, qui se doit d’être honteux et soumis à : 0,2 pour cent de la population selon Anne Kling.