Sujet brûlant : j’ai lu attentivement les posts et il est évident que le système à un problème, ou plutôt que ce système EST un problème.
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Profs castrés à tous niveaux (face aux élèves, face aux parents, face à l’administration, paye minable qui attise le mépris, mal formés, sous pression dès l’entrée dans le "métier", dont on ne parle que pour leur cracher à la gueule, partout, dans les médias, dans les restos, dans les réunions familiales, partout). Profs, pour la plupart, choisis par et pour leur soumission à un système qui les a vu "réussir" (anciens bons élèves), qui ne sont pas sorti du système et qui sont sur un nuage idéologique, aveuglés par des "connaissances" pieusement ingurgitées pendant les cursus (conditionnement) les plus longs. Aveuglement, déni, lâcheté face à l’autorité ne font pas une terre fertile pour l’indépendance d’esprit et la liberté de pensée...et ne sont d’aucune utilité face au politiquement correct omniprésent et imposé...par qui déjà ?
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Métier de plus en plus flou laissé entre les main d’étudiants, de stagiaires, jetés dans la fosse aux lions sans préparation. Métier sans cesse redéfini par des autorités politiques qui ont des objectifs qui n’ont rien à voir avec la pédagogie ni l’enseignement.
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"Fosse aux lions" : élèves mélangés n’importe comment, certains ne voulant pas être là, ne sachant pas pourquoi ils sont là ("j’suis obligé d’venir !"), n’ayant pas le niveau du tout (intellectuel). Mixité garçon/fille qui ne sert qu’à transformer les classes en boîtes de nuit (sans la musique). Elèves abrutis par les harcèlement électroniques (jeux, ondes, etc.), les harcèlements sexuels, les conditionnement à la violence verbale et physique (médias, propagande belliqueuse), l’irrespect total face à l’adulte (famille ou pas).
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Bref, y’aurait encore pas mal à dire : en tout cas il y a quelque chose de concerté là-dedans, ne serait-ce que par le manque de moyens, la critique médiatique systématique et surtout les résultats catastrophiques (cachés par des stats manipulées) qui semblent contentés nos maîtres.
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Tuer l’intelligence d’une nation ? On voudrait le faire qu’on ne s’y prendrait pas autrement ! (Les profs n’étant que le vecteur malléable derrière lequel se cache la main habile, mais ça Libération "oublie" d’en faire mention). Regardez le doigt...oubliez la lune.