Décidément, entre Macron, Trudeau et Zelenski, les dirigeants mondialistes, c’est tout un programme !
Je parie que personne n'aurait reconnu le président Ukrainien Zelenski qui danse à gauche avec des hauts talons vêtu de latex ? pic.twitter.com/m74op10BNH
— Pépito (@LesYeuxBleuus) February 26, 2022
Plus globalement, les dirigeants de la sphère globaliste semblent tous venir du même moule : on y retrouve du McKinsey, du Goldman Sachs, du Rothschild, de la BCE, du FMI, et à l’arrivée, la démocratie recule, la tyrannie avance, et les peuples trinquent. Avec un vin de plus en plus amer, limite vinaigre.
Question : Quelle était la probabilité pour que les young global leaders soient élus simultanément ? Qu est ce que l’on peut en déduire ? pic.twitter.com/ymXRWyBA1e
— fabian naceri (@AllanicFabian) February 16, 2022
Voici la pub comparative pour les recrutements des armées russe et américaine. Enjoy the packshot !
I first tweeted this last year in June : juxtaposition of these 2 very different videos : Russian and American army recruitment videos. Watch & see what the very obvious problem ispic.twitter.com/AwHqJEl2ob
— Nat (Truckers Rule !) (@Arwenstar) February 24, 2022
En juillet 2016, le Premier ministre très progressiste Justin Trudeau, en sweat-shirt rose ouvert, s’éclate pendant la gay pride à Montréal.
Six ans plus tard, il fait donner la troupe contre les camionneurs qui traversent le pays pour défendre les libertés publiques, castrées sous le régime trudiste. Même chose sous le très progressiste Macron avec l’ignoble répression des Gilets jaunes en 2018-2019. Il semble que le progressisme ne concerne que le domaine intime, et s’arrête aux frontières du social, c’est-à-dire de l’intérêt des peuples concernés.
Les Français, les Canadiens, les Ukrainiens, ont cru élire des dirigeants modernes, ouverts sur le monde, ouverts d’esprit, des jeunes cadres dynamiques prêts à faire évoluer, dans le bon sens, des sociétés sclérosées par les injustices et les privilèges, et voilà qu’on découvre des tyrans médiocres, haineux et sexuellement provocateurs. L’image même de ce mondialisme qui ne veut que la soumission des peuples, en plus de leur exploitation.
En juin 2017, la marche des fiertés LGBT de Kiev n’avait pas autant cartonné qu’au Canada. Des éléments pas très progressistes avaient voulu intervenir violemment. Il a fallu 5 000 policiers pour autoriser la manifestation des 2 500 homosexuels des deux (ou trois) sexes. Heureusement, deux ans plus tard, Zelinsky était élu.
Les Ukrainiens, jusqu’à ce 24 février 2022, vivaient dans une folle liberté, mais le salaire moyen n’a pas bougé, depuis l’élection de Zelinsky : avec 248 euros de salaire moyen (150 à peine de salaire minimal), les Ukrainiens sont parmi les Européens les plus pauvres. Oui, mais ils ont la liberté sexuelle…