Pendant que l’empire sioniste-maçonnique prédateur,dont la vocation,la
seule,est de dévorer la planète,ses humains,sa faune,sa flore,son minéral,son
ciel,tout,absolument tout ;lui,Lavrov,il perd son temps dans un baragouin,fait
de mille détails techniques et de banalités procédurales .
Pourtant, le problème se situe sur le terrain stratégique , qui se résume en
quelques mots : celui qui dominerait le monde,et celui-là seul, règnera en
maître absolu sur la planète .
Sous cet angle,et sous lui seul,un ministre d’une grande puissance
nucléaire,en l’occurrence , La Russie,devrait bâtir son analyse,et partant,structurer sa stratégie pour damer le pion à l’empire du mal .
A-t-on besoin de rappeler à ce ministre que l’élément central de La Russie,
est d’élaborer sa stratégie,de lutte contre l’empire du mal, en s’appuyant sur
sa propre histoire ; de la lointaine Russie tsariste, jusqu’à l’époque soviétique ?
Compléter,bien entendu,cette perspective historique, par une véritable toile
d’araignée,faite de l’histoire de toutes les nations à l’échelon planétaire .
Dans ce cas particulier ; la destruction,en vol,de l’avion civil malaisien, et au
delà du drame humain de l’événement, le problème majeur se pose comme suit :
L’empire mafieux sioniste a détruit l’URSS, avec l’aide du traître gorbatchev .
Cette trahison historique, a agi sur plusieurs fronts,dont celui de destruction
du système socialiste russe,l’anéantissement de son bouclier militaire,à savoir
le pacte de Varsovie et,enfin,l’amputation du territoire russe de vastes
régions,dont l’Ukraine . Laquelle Ukraine,est utilisée,par l’occident sioniste-maçonnique,comme plateforme pour écraser définitivement l’empire russe .
Aujourd’hui,La Russie a besoin de dirigeants de la trempe des Héros,non
pour agresser quiconque, mais pour remettre les pendules de l’Histoire à
l’heure ; c’est à dire rétablir l’intégrité territoriale du pays .
Bien évidemment,cette ambition, historique, mais légitime,resterait une ridicule chimère, si le prédateur sioniste n’est pas convaincu qu’il a en face
une puissance qui lui fait toucher du doigt qu’on ne badine nullement avec ses intérêts supérieurs .
Je termine ces propos,par cette profonde réflexion de Dosteïveski :
Combien n’y en a-t-il pas aujourd’hui qui se perdent parce que leurs pensées ont été mal dirigées .
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