Pour tout dire, ce sont des images assez incroyables à voir.
C’était avant l’hommage officiel aux soldats tués, rendu aux Invalides par Nicolas Sarkozy, jeudi après-midi.
Lors de sa visite à Kaboul, Nicolas Sarkozy a laché un rire particulièrement déplacé lors de son discours aux troupes françaises engagées en Afghanistan.
Il déclare alors "mais je vous le dis en conscience... que si c’était à refaire, je le referais" et puis après un long silence, il lache le petit rire satisfait qu’on lui connait dans les meetings UMP et enchaine en disant "... pas la patrouille, pas le même enchainement des évenements, mais le choix qui m’a amené à confirmer le choix de mes prédécésseurs".
Voici la vidéo de ce discours pour le moins particulier :
C’est un nouvel exemple de cet "humour" dévastateur et de ces inconvenances qui ne manquent pas de creuser, jour après jour, le fossé qui sépare les armées de celui est constitutionnellement leur chef.
Lire la suite : http://www.lepost.fr
En complément (disponible également dans notre rubrique Vidéos) :
C’était avant l’hommage officiel aux soldats tués, rendu aux Invalides par Nicolas Sarkozy, jeudi après-midi.
Lors de sa visite à Kaboul, Nicolas Sarkozy a laché un rire particulièrement déplacé lors de son discours aux troupes françaises engagées en Afghanistan.
Il déclare alors "mais je vous le dis en conscience... que si c’était à refaire, je le referais" et puis après un long silence, il lache le petit rire satisfait qu’on lui connait dans les meetings UMP et enchaine en disant "... pas la patrouille, pas le même enchainement des évenements, mais le choix qui m’a amené à confirmer le choix de mes prédécésseurs".
Voici la vidéo de ce discours pour le moins particulier :
C’est un nouvel exemple de cet "humour" dévastateur et de ces inconvenances qui ne manquent pas de creuser, jour après jour, le fossé qui sépare les armées de celui est constitutionnellement leur chef.
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