"Rien n’a été mis en place par les autorités françaises pour l’accueil de ces réfugiés, condamnés pour le moment à ces camps de fortune dans la capitale" Cette seule conclusion est révélatrice et porteuse d’un message politique.
Rien n’a été mis en place par les autorités françaises : Au contraire, tout a été mis en place pour favoriser les immigrations légale et illégale. Ce sont les autorités françaises qui permettent et même encouragent l’entrée sur notre territoire de tous les immigrés légaux et clandestins, "communautaires" ou extra-européens.
L’accueil de ces réfugiés : Terme trompeur ; pour accueillir encore faut-il que le pays hôte ait consenti à accueillir. Les Français ne peuvent et ne veulent plus accueillir.
L’accueil de ces réfugiés
: Définition ; un réfugié est une personne qui a trouvé refuge hors de son pays d’origine lorsqu’il était menacé par une guerre ou des persécutions politiques entres autres. Il me semble qu’il n’y ait pas (ou plus) cela en Tunisie. Le terme réfugiés est en l’espèce usurpé.
Condamnés pour le moment à ces camps de fortune : Ces faux réfugiés n’ont pas l’obligation à rester en France ; ils peuvent à tout moment retourner dans leur pays qui a besoin de bras.
Condamnés pour le moment à ces camps de fortune
: Indication que cette sanction que trouve sévère cette journaliste va cesser. Ce sont les familles françaises et les personnes sans-domicile qu’il faudrait pouvoir loger.
Est-ce nationaliste, voire rasciste, que de dire cela ? Ou juste être national et patriote, sans distinction d’origine ethnique ou religieuse. Je suis moi-même Français d’origine magrébine et de confession musulmane, je réside dans le 19ème arrondissement de Paris, à quelques centaines de mètres des Portes de la Vilette et de Pantin où tous ces réfugiés tunisiens, et à quelques kilomètres des 10 et 18ème arrondissements et Saint-Denis où d’autres réfugiés afghans, roumains (etc.) se sont établis, et pas provisoirement.
Un tribunal pour juger pour trahison, haute trahison et intelligence avec l’ennemi pour toutes ces élites françaises dévoyées, quel que soit leur domaine : politique, finances, sciences, médias, arts, économie, hisoire, etc.
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