Les Calaisiens ne sont pas au bout de leurs surprises et de leurs peines, qui vont généralement ensemble. Après l’installation en dur d’un camp de rassemblement de 6 000 petits soldats du mondialisme, sous l’injonction de Soros et des traîtres aux peuples de l’Union européenne, voici que ce nouvel État, qu’on pourrait rebaptiser Migreland, commence à s’organiser pour durer.
Les associations complices dites de gauche font un travail humanitaire remarquable, afin de socialiser et de civiliser ces victimes de l’Autre monde, celui qui souffre des guerres et des privations. Les lois françaises ne veulent plus rien dire, mais ça n’est pas grave : seule compte l’émotion positive de voir ces petites têtes sourire, et apprendre le français.
Pendant ce temps-là, en dehors du chatoyant Migreland, des autochtones semblent être légèrement en désaccord avec la situation et l’augmentation surprenante du nombre de néo-Calaisiens :