La France est ruinée. Alors que l’austérité se met en place, que les taxes et impôts augmentent pour les plus modestes, la dette se creuse. Les gouvernements antinationaux qui se sont succédé depuis l’instauration de la loi du 3 Janvier 1973 par Pompidou, ancien directeur général de la banque Rothschild, ne font qu’appliquer une règle simple : augmenter la pression fiscale sur l’ensemble des Français (hormis les plus aisés, bien évidemment), et utiliser ces recettes pour rembourser les créanciers privés d’une dette illégitime [1].
Peu à peu, la part de cette dette et de ses intérêts a pris une place de plus en plus importante dans le budget de l’État [2]. Aujourd’hui, le « service de la dette » représente le premier poste budgétaire de la France, devant l’Éducation nationale ou la Défense [3]. Pas d’austérité pour les banquiers !
C’est une véritable féodalité bancaire qui s’est donc installée au niveau européen, parasitant l’économie réelle qui peu à peu se trouve asphyxiée par une pression fiscale toujours plus grande. Mais ça ne leur suffit pas : après avoir épuisé les acteurs de l’économie privée, l’oligarchie bancaire impose aux États des politiques austéritaires qui détruisent méthodiquement l’ensemble des administrations et des services publics.
L’armée française n’est pas épargnée : depuis des années déjà, ses moyens se réduisent et ses effectifs fondent. Fidèles à leur tradition, nos militaires se taisent et encaissent. Jusqu’ici. Depuis des mois, les troupes font les frais de la soumission de cette « république » à l’oligarchie bancaire. Et si un véritable gouvernement patriote privilégiera toujours son armée face à la finance apatride, un gouvernement antinational fera exactement l’inverse : l’armée, c’est avant tout un symbole, celui de la souveraineté et de l’indépendance.
C’est ainsi que les soldes n’arrivent plus. Invoquant un « problème d’ordre technique » auquel personne ne croit, l’État ne verse plus leurs soldes à des milliers de soldats qui ont juste le droit d’obéir et de se taire [4].
Mais c’était sans compter sur l’esprit de corps et la combativité de ces femmes de soldats qui se sont mobilisées dans un élan commun et remarquable pour faire entendre la voix de leurs conjoints servant le drapeau. Leur protestation silencieuse ne l’est plus, et s’affirme dorénavant dans le collectif des Gauloises en colère !
Nous leur adressons tous nos encouragements, et formulons le souhait que cette action marque le début d’un vaste élan populaire contre la dictature bancaire et mondialiste.
Vincent Vauclin, pour la Dissidence Française