Avec cette étude, le Système est passé de la désinformation (il n’y a pas d’effets secondaires, le vaccin est 100% sûr) à la sous-information (il y a eu quelques effets secondaires seulement, ça reste globalement sûr).
On attend donc la prochaine étude, qui révélera le véritable niveau des effets secondaires sur ces 109 millions d’injections pour partie inutiles et dangereuses, en France, d’un « médicament » en phase de test. Un test grandeur nature qui aura grandement favorisé les multinationales de l’injection et mis en péril la santé publique.
C’est la première chose qui peut rassurer les personnes qui ont été vaccinées avec le sérum créé par Pfizer-BioNTech. « Nous avons étudié toutes les déclarations envoyées sur la plateforme de l’Ansm (agence nationale de sécurité du médicament, NDLR), soit par des soignants, soit par des usagers, concernant des événements indésirables signalés suite à une injection du Pfizer », explique Francesco Salvo, responsable du centre de pharmacovigilance de Bordeaux et coordinateur du suivi national de la sécurité du vaccin Pfizer, à nos confrères de Sud-Ouest.
Et ces équipes ont reçu « jusqu’à 500 signalements par jour » avec à chaque fois un travail de vérification « au cas par cas ». Et même pour les déclarations les plus incongrues comme « cet homme affirmant être comme Hulk après le vaccin », complète Mathieu Molimard, chef du service de pharmacologie médicale au CHU de Bordeaux, dans Sud-Ouest.
22.000 cas d’effets indésirables graves
En quinze mois, 109 millions de doses de vaccin Pfizer ont été administrées en France. Et parmi ces injections, les autorités de pharmacovigilance ont détecté un peu plus de 20.000 cas graves d’effets secondaires.
« En France, sur le suivi du Pfizer, nous avons enregistré 22.000 effets indésirables graves, qui incluent les symptômes grippaux assez forts nécessitant un arrêt de travail. Ce qui reste, au regard du nombre total d’injections, une toute petite partie des personnes vaccinées », explique Francesco Salvo à France 3 Nouvelle-Aquitaine.
Selon lui, ces effets sont des versions atténuées de symptômes que l’on peut développer en étant contaminé au Covid-19.
10 morts potentiellement imputables au vaccin
En revanche, il est difficile de savoir si le vaccin Pfizer est responsable de la mort de certaines personnes. « Chaque décès qui a succédé à une injection a fait l’objet d’une enquête », a rappelé Francesco Salvo à nos confrères de Sud-Ouest.
Selon lui, depuis le début de la campagne de vaccination il y a, à ce jour, « dix cas survenus chez des personnes très fragiles, très âgées, pour lesquelles on ne peut exclure que la réaction fébrile liée au vaccin ait contribué à précipiter le décès ».
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Myocardite
Même constat avec les cas de myocardites qui ont touché certains patients. Comme le rappelle Mathieu Molimard à Sud-Ouest, la myocardite « est une atteinte inflammatoire du cœur » qui peut être provoquée par le Covid. Le vaccin peut également en entraîner « mais beaucoup moins fréquemment, avec des formes moins sévères et surtout réversibles », détaille le spécialiste.
Selon lui, ce problème a surtout concerné le vaccin Moderna « probablement surdosé ». Avec le sérum Pfizer, les myocardites représentent un cas sur 100.000 vaccinés.
Cycle menstruel
Comme nous l’évoquions dans un précédent article, le vaccin peut bien avoir une influence sur le cycle menstruel des femmes. Comme le note Antoine Pariente, responsable de l’unité pharmaco-épidémiologie à l’Inserm, dans Sud-Ouest, le cycle menstruel féminin peut être troublé par le stress, de la fièvre ou une infection grippale.
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