Comme le souligne Stéphane Édouard, les techniques employées par cette gourde qui respecte parfaitement les biais idéologiques qu’on lui a enseigné à l’université, sont issue des travaux de l’école de Francfort, de l’institut Tavistock ou encore de la French Theory.
Tous les poncifs sont d’ailleurs présent dans le discours développé tout au long de cette vidéo scopie : construction - déconstruction, pathologie de la virilité, genre, violence, menace etc... !
Elle tente de faire coller des faits à un postulat de départ qui ne tient pas la route mais qui par la magie d’une rhétorique habile et en apparence cohérente finit par aboutir à une conclusion partiel justifiant une thèse partiale.
Bien sûr que la virilité s’exprime par nature dans la vigueur qui lorsqu’elle est mal dirigée devient pathologique.
Mais la violence n’est pas l’expression de la virilité puisque par définition c’est l’utilisation de force ou de pouvoir, physique ou psychique, pour contraindre, dominer, tuer, détruire ou endommager.
Dans la forme elle est plus ou moins visible et spectaculaire selon qu’elle soit physique, psychique, verbale.... ! Selon le contexte elle sera utilisée par les hommes comme les femmes mais de manière différente en nature comme en acte. Lorsque l’on ne possède pas la force brute, l’option de la force de l’esprit ou d’une intelligence perverse s’impose et s’avère souvent plus efficace et féconde.
La culture s’est construite de manière générale à travers la recherche d’une stabilité propice à l’harmonisation des relations sociales par l’acquisition de repères subtils lui permettant de se canaliser elle même pour justement ne pas sombrer dans le chaos dans lequel l’esprit peut potentiellement s’égarer.
La tradition étant l’expression d’une culture transmissible dont les modifications (revivifications) n’ont jamais eu pour but de contribuer à corrompre l’essence du message (destruction) qu’elle contient, au risque de la déstabiliser à tel point que le groupe qui la partage ne soit plus en mesure de lui survivre (Ragnarock).
C’est cette crainte inscrite dans toutes civilisations qui s’inscrit dans les mythes évoquant la fin du monde. Lorsque ce genre de théorie commence à se répandre c’est presque toujours le signe avant coureur d’une dégénérescence, généralement véhiculé par des femmes (transmettant le savoir ou le nouveau savoir) et même maintenant par des hybrides au genre plastique et fluide (LGBTQ).
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