Destinés à harmoniser la vie socioéconomique des entreprises mais pas seulement, les standards définissent la conformité d’un comportement, d’un service ou d’un produit. Dans notre monde très changeant certains standards s’éternisent tandis que d’autres se succèdent à un rythme effréné. Il y a des standards qui perdurent depuis la nuit des temps et d’autres qui disparaissent sans même avoir réellement existé.
Nous sommes bien en l’an de grâce 2018 en célébration de la nativité de Jésus-Christ et nos journées comptent 24 heures depuis les Sumériens cependant nous n’utilisons plus le bélinographe mais Internet. Si le courant alternatif de la compagnie Westinghouse préconisée par Nicolas Tesla s’est imposé d’abord aux États-Unis face au courant continu d’Edison puis dans le monde entier, nous constatons que tous les pays sont alimentés électriquement de différentes façons en termes de voltage ou de fréquence. De la même manière, la prise USB s’est imposée comme une connexion standard incontournable dans le monde l’informatique jusque dans les automobiles et les avions pour recharger les téléphones portables et les tablettes. Nous sommes à tous moments entourés de standards cependant que le mètre, le kilogramme et le degré Celsius de notre système métrique continuent de coexister avec le gallon, la livre et le degré fahrenheit du système impérial...
La formation des standards
Un standard est une norme de référence et la normalité c’est la majorité. Plus une norme est adoptée, plus elle possède de valeur et plus elle a de chance de s’imposer par rapport à d’autres normes concurrentes au point de devenir d’usage parfois unique en tous cas très large. Cette adoption généralisée passe par les complicités et les alliances de groupe dominants car les autres suivront. Par la volonté du nombre, par la ruse ou par la force de quelques-uns, les standards prolifèrent comme ils peuvent dans tous les domaines. Les révolutionnaires qui voulaient supprimer toutes références existantes au Christ et à la monarchie ont bien tenté d’imposer leur calendrier républicain pourtant également composé de 12 mois mais cela n’a jamais vraiment marché en pratique. Les décideurs de l’époque imaginaient certainement que la révolution avait une portée au moins aussi grande que la naissance du Christ. Même chose pour le groupe Swatch et la Swatch beat, cette montre qui portait le projet d’éliminer non seulement les fuseaux horaires mais également les 24 heures de 60 minutes en les remplaçant par 1000 « beats ». Il y a des choses qui changent et d’autres qui ne changent pas. Il parait très difficile aujourd’hui d’harmoniser les fiches électriques dans le monde car il existe actuellement de nombreuses barrières contre le changement : technologiques, territoriales, juridiques, industrielles et financières. Mais peut-être après tout qu’un fan de technologie inclusive après l’écriture inclusive arrivera à imposer une fiche électrique neutre ou sans genre qui ne sera ni mâle ni femelle. Bonne chance.
Plus proche de nous et plus vraisemblable après l’abandon de l’étalon or et l’abandon progressif du pouvoir de battre monnaie par une grande majorité des pays dont la France depuis 1973, pourquoi pas un effondrement général des monnaies du monde afin que ces dernières soient remplacées par une monnaie standard unique qui nous a été annoncée pour cette année par la couverture de The Economist en janvier 1988.
- Préparez-vous pour une monnaie mondiale
Car oui l’apparition des standards suit elle-même certains patrons. Comme le rapportent Carl Shapiro et Hal R. Varian, il y a sept critères clefs qui permettent la formation de standards : le contrôle d’une certaine base sur laquelle le standard en devenir est appliqué, la propriété des droits intellectuels, la possibilité d’innover, les avantages du first-mover c’est-à-dire du premier qui a eu l’initiative, la capacité productive et de diffusion, l’habilité ou la force de pouvoir compter sur les acteurs complémentaires c’est-à-dire ceux qui suivent et qui font confiance ou bien qui sont plus généralement liés par obligation et enfin la réputation et le nom de marque. Évidemment tous ces critères clefs ont une importance différente selon qu’il s’agit de comparer une industrie à une autre. Dans le cas des boissons de type cola le standard est Coca-Cola parce que le critère de la marque et celui du first-mover ont été et sont toujours les critères décisifs. En effet la compagnie a été la première à produire ce type de produit. Dans l’industrie de la monnaie, en reprenant l’exemple de la possibilité d’une monnaie mondiale, les critères fondamentaux seraient le contrôle d’une base existante de production de la monnaie c’est-à-dire le contrôle des banques centrales et l’habilité ou la force de pouvoir compter sur les acteurs complémentaires qui sont dans ce cas les complicité politiques et les autres complicités institutionnels.
La guerre des standards
Pour qu’une norme devienne un standard elle doit gagner une guerre contre d’autres normes rivales si elles existent. Dans le milieu industriel les enjeux de cette guerre sont multiples et posent une multitude de questions dont la question du monopole dans un cadre économique ultralibérale. La standardisation industrielle entraine d’abord l’économie de coûts – puisque le produit standard ne change pas et n’a donc pas besoin de recherche et ni de développements ultérieurs – et par la suite l’économie d’échelle – puisqu’en produisant davantage les couts fixes unitaires se réduisent, mais également les coûts variables alors que les prix de matière première peuvent être négociés à la baisse lorsque le volume d’achat est plus important.
Chaque fois qu’une technologie nouvelle apparaît il y a un risque pour qu’un compétiteur ne pénètre le même marché avec une autre technologie concurrente. Dans certains cas les deux technologies coexistent et chaque standard trouve sa niche comme les disques 33 tours de Columbia Records et les disques 45 tours de RCA Victors ou bien alors une technologie l’emporte sur l’autre comme le cas du WiFi qui l’a emporté très largement sur le Bluetooth. Nous avons également développé dans notre ouvrage la question de la guerre des standards éthiques et la concurrence acharnée des instances internationales pour chacune imposer leurs normes qui se transformeront en règle de droit positif pour les entreprises donc nous n’y reviendrons pas.
En matière agricole le bio a été le standard avant l’ère industrielle puis l’ère Monsanto, la firme qui est à l’origine du défoliant militarisé « agent orange ». Ce géant de la biotechnologie agricole a bien compris les enjeux de la standardisation au travers de l’utilisation des brevets. Le business model serait parfait s’il n’était pas nuisible à la santé physique et économique des agriculteurs. En effet Monsanto modifie génétiquement des plantes – notamment avec le gène Terminator acheté en 2007 et qui rend la seconde génération de plantes stériles – puis les brevète avant de les vendre aux exploitant agricoles. Or les droits de propriété intellectuels attachés aux brevets et aux certificats d’obtention végétale tels que définis par les règlements européens depuis 1994 prévoient de nombreuses restrictions pour l’utilisateur, qui n’est pas le titulaire des droits sur la plante, comme par exemple l’interdiction sans demande d’autorisation de production ou reproduction des graines issues de l’exploitation ou de conditionnement aux fins de la multiplication pour certaines catégories de plantes. En gros, Monsanto vend des graines à usage ou à saison unique que les exploitants devront racheter l’année d’après soit parce que les plantes issues de ces graines sont stériles après la seconde génération soit parce que l’utilisation de ces plantes et de leurs produits est protégée par brevet. Rappelons pour finir que Monsanto a été vendu pour 66 milliards de dollars au groupe pharmaceutique Bayer en 2016. La boucle est bouclée : dans le cas où les produit de la techno-agriculture du groupe Monsanto nous rendraient malade, Bayer nous fournirait les médicaments pour notre bienêtre.
Heureusement la technologie n’est pas l’unique futur possible. Par exemple la volerie a encore de beau jour devant elle devant les drones.
Les standards dans l’entreprise
La standardisation dans l’entreprise a plusieurs sources qui sont à la fois externes et internes à l’entreprise.
Les sources externes sont multiples. La règle de droit – la loi du Parlement, le règlement du gouvernement et jurisprudence des juges administratifs, judiciaires et constitutionnels pour ne mentionner que les sources nationales – nous en impose évidement mais pas seulement. L’ASTM l’American Society for Testing and Materials est une association américaine à but non lucratif qui n’est pas un organe législatif, ni une juridiction ni un gouvernement mais qui est incontournable mondialement dans le secteur des pipelines par exemple. Il est aussi parfois possible de choisir les standards externes si notre activité le permet. Par exemple les normes ISO, les normes de l’agriculture biologique, les labels, les appellations d‘origine contrôlées, entre autres, qui sont facultatives, en général bien faites et/ou en tous cas bien perçues par les clients institutionnels et les consommateurs. Car la norme nous rassure tant que parfois elle nous anesthésie.
Face à toutes ces sources externes de standards, la TPE-PME peut mais surtout doit être également une source importante de standards. Ces standards et préférences développés en interne tirent en général leur contenu du plan stratégique de la TPE-PME laquelle a le contrôle absolu de son élaboration. Ces sources de standards sont principalement les valeurs et dans une moindre mesure la vision et la mission de la compagnie. Dire que les normes et les standards sont nécessaires c’est un peu comme vouloir enfoncer une porte ouverte. Tout le monde reconnaît l’utilité du code de la route et des lois sanitaires et sociales, il y a moins d’enthousiastes lorsqu’il s’agit de payer des impôts supplémentaires. Pour les TPE-PME c’est la même chose et le plan stratégique doit être un espace de liberté qu’il faut savoir utiliser et maitriser pour élaborer sa propre norme et être régi par ses propres standards.
Rappel : le plan stratégique de l’entreprise est un document qui rassemble les principales initiatives à réaliser en vue de l’accomplissement du rêve de l’entreprise : sa vision.
⦁ La vision : c’est le rêve ultime de l’entreprise c’est-à-dire son objectif à terme et qui se traduit par des objectifs intermédiaires mesurables en toute connaissance du marché. Parfois la vision de l’entreprise inclut des valeurs. Par exemple la vision du groupe PSA au 24 janvier 2018 est de devenir un constructeur automobile de référence et un fournisseur de solutions de mobilité, pour enrichir chaque jour la liberté de mouvement de nos clients, dans le monde entier.
***
Je suis confectionneur de mobiliers d’aménagement intérieur sur mesure en bois recyclé et en carton à Thiers et ma vision est d’être le confectionneur responsable préféré de ma ville dans 3 ans. Clairement mon standard est la responsabilité. Faisons d’abord notre étude de marché puis déterminons certains de nos objectifs avant de nous intéresser à notre standard.
Étude de marché :
⦁ La ville de Thiers compte 13353 habitants et la consommation des ménages et de 320 euros budget moyen par an.
⦁ Or selon l’INSEE il y a 2.2 personnes en moyenne par ménage en France soit 13353 / 2.2 = 6069 ménages à Thiers.
⦁ Donc le marché du mobilier à Thiers est de 6069 ménages * 320 euros = 1,942,080 euros par an à Thiers.
⦁ D’après mes propres estimations et recherches 8 % des ventes se font par Internet et 20 % des acheteurs n’achètent que des produits de fabrications responsables donc mon marché réel est égal à 20 % du marché total diminué des achats réalisés au travers d’Internet.
⦁ Total du marché = [1,942,080 * (1-8%)]* 20 % = 357,342.57 euros.
⦁ D’après une recherche Internet et sur les pages jaunes j’apprends que ce volume est reparti entre différents magasins qui sont : les docks du meubles, meubles Chambon, Meubles jourdes, Alinea, et un peu plus loin Mobilier de France, Conforama et moi qui possède un chiffre d’affaire annuel de 45,000 euros soit 45,000 / 357342.57 = 12,6 % de part de marché.
Définition d’objectifs :
⦁ Si ma vision est d’être le confectionneur responsable préféré de ma ville dans 3 ans il faut que j’aie au moins 51 % du marché existant dans trois ans.
⦁ Vision dans 3 ans = 357,342.57 * 51 % = 182,244.71 de ventes en dans 3 ans.
⦁ À partir de ce chiffre je peux déterminer mes objectifs intermédiaires dans un an, deux ans ainsi que mes objectifs mensuels pour y arriver. Il faudra évidemment aligner ces objectifs de ventes avec ma capacité de production, de marketing de ressources humaines et de finances. Nous renvoyons le lecteur à notre ouvrage création et conduite d’entreprise pour plus d’information.
⦁ Définition d’objectifs et de plan d’actions à partir de notre standard responsable contenu dans notre vision :
Responsable signifie :
⦁ Protection de l’environnement c’est-à-dire que nous nous obligeons à n’utiliser que des produits non toxiques comme de la colle lavable a l’eau.
⦁ Responsabilité sociale : c’est-à-dire que nous nous obligeons à ne travailler qu’avec des fournisseurs qui remplissent ces mêmes critères de responsabilités.
⦁ Enfin responsable signifie avec toutes les parties prenantes c’est-à-dire les fournisseurs mais aussi les employés, la communauté locale etc… en vertu de ce standard de responsabilité nous pouvons nous engager à n’employer que des personnes en situation précaire : personnes âgés, SDF ou bien nous obliger à donner gratuitement un pourcentage de notre stock a des institutions prenant en charge les populations vulnérables par exemple etc…
***
⦁ La mission : c’est la raison d’être de l’entreprise, sa fonction. La mission répond à la question : pourquoi ma compagnie existe-t-elle ? Par exemple la mission du groupe Danone au 24 janvier 2018 est d’apporter la santé par l’alimentation au plus grand nombre. Dans ce cas la santé qui est à la fois un objectif et un standard fondamental de l’entreprise va se traduire par plusieurs initiatives et actions concrètes en vue de sa réalisation. La mission inclut parfois aussi certaines valeurs ou symboles. Par exemple le symbole de la mission de Facebook imprimée à l’intérieur des blousons de l’entreprise en 2010.
⦁ Les valeurs : elles sont le ciment culturel de l’organisation et forment une base sur laquelle les règles de bonne conduites et les codes de conduites vont se construire afin de pouvoir entre autres sanctionner les comportements déviants. Les valeurs trouvent leur fondement dans la religion, la nature ou l’éducation mais pas seulement et définissent les standards d’une organisation dans tous les domaines. Exemples de valeurs : adaptabilité, confiance, respect etc…
***
Je suis Franco-bulgare et suis titulaire d’une idée géniale qui va révolutionner les relations entre les sexes. Mes valeurs sont : l’intelligence, la croissance, la galanterie, la propreté et l’honnêteté. Cependant j’ai plusieurs obstacles : mon idée est facile à copier mais le brevet peut m’assurer de beaux jours devant moi, je suis résident en France qui est un pays très fortement taxé ce qui ne va pas m’aider dans mon développement. En effet la France est taxée à 28 % pour les objectifs que je me fixe alors qu’en Bulgarie c’est seulement 10 % d’impôt sur les bénéfices. Je n’ai pas encore déposé mon brevet et ma société n’est pas créée.
Que dois-je faire avec tous ces acquis si les valeurs fondamentales de mon initiative sont l’intelligence, la croissance et l’honnêteté ? Car je veux évidemment grandir mais j’aime la France et hors de question de frauder le fisc et de ne pas payer d’impôts. Cependant je ne veux pas être une vache à lait et la Bulgarie est mon pays d’enfance. Je pourrais tout diriger depuis la Bulgarie mais j’ai trouvé des professionnels qualifiés en France que je souhaite employer. Voyons les scenarios en termes de résultats nets si je projette de vendre 200 000.00 d’euros cette année dans le marché français.
⦁ Première hypothèse J’enregistre mon brevet et monte ma société en France qui sera titulaire du brevet
⦁ Deuxième hypothèse : Rien ne m’empêche d’enregistrer mon brevet en Bulgarie et de créer 2 sociétés : une en France pour la vente et la confection de ce produit génial et une en Bulgarie qui sera titulaire du brevet et qui recevra une redevance de 25 % sur le chiffre d’affaire de la société française pour l’utilisation du brevet en France.
Analyse de résultats si je compare les 2 hypothèses :
⦁ Bénéfices nets réalisés sur le montage 1 : 60,840 euros après impôts
⦁ Bénéfices nets réalisés sur le montage 2 : 20,825 euros en France + 53,550 euros en Bulgarie ce qui est égale à 74,375 euros après impôts
⦁ Soit une différence positive nette de 13,525 euros
⦁ NB : Évidemment toutes les transactions sont légales et documentées depuis le droit de propriété du brevet jusqu’à la facturation de la redevance en passant par le contrat d’exploitation dans le respect des obligations fiscales.
Conclusions : j’ai tout intérêt à déposer mon brevet en Bulgarie et en assurer la paternité à ma société bulgare car je paierai des impôts dans les 2 pays mais mon bénéfice total net sera plus important et je pourrai atteindre mes objectifs de croissance. En effet je pourrai utiliser ce bénéfice pour investir en machine, en employés et en fond de roulement soit en finançant par de la dette soit directement en capital. Cerise sur le gâteau : la Bulgarie ne taxe pas les dividendes payés aux actionnaires donc le bénéfice fait par la société bulgare pourrait m’être reversé net de taxes. Vive l’Union européenne !!
***
En résumé :
Entre normes, références, patrons et étalons, nous évoluons dans un monde standardisé. La TPE-PME est une source importante de standards et doit être considérée comme un espace de liberté ou ceux-ci doivent pouvoir librement s’exprimer et se développer.
La vision, la mission et les valeurs de l’entreprise ne sont pas des formulations en l’air mais des sources d’objectifs et de standards qui doivent impérativement se traduire en sous-objectifs et en actions concrètes. Souvent des opérations simples comme des multiplications, soustraction, additions et divisions permettent d’atterrir des idées et de se projeter avec plus de clarté.
Sources et liens utiles :
Pourquoi les journees durent 24h http://histoiredutemps.free.fr/conc...
L’électricité dans le monde https://worldstandards.eu/electrici...
Le cas de la montre Swatch beat (en anglais) https://www.themarysue.com/beat-swa...
Sur les différents formats du vinyle http://www.mesdisquesvinyles.com/do...
Sur la loi du 3 janvier 1973 modifiant les conditions d’endettement et la création monetaire en France https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_d...
La fed est-elle en train d’organiser le crack du marché ? https://www.egaliteetreconciliation...
L’art de la guerre des standards – article de Carl Shapiro et de Hal R. Varian (en anglais) http://sjbae.pbworks.com/w/file/fet...
Guerre du Vietnam a quoi servait l’agent orange de Monsanto https://www.caminteresse.fr/economi...
Monsanto achète Delta and Pine Land un des plus grands fournisseurs de graines de Cotton aux états unis (et également a l’origine du gène Terminator en partenariat avec le gouvernement américain) (en Anglais) http://www.nytimes.com/2006/08/16/b...
Roundup le pesticide cancerigene le plus rependu dans le monde https://www.nouvelobs.com/sante/201...
Plainte contre le glyphosate de Monsanto http://www.europe1.fr/societe/glyph...
Recolte record au Salvador depuis l’interdiction du roundup de Monsanto http://www.bioalaune.com/fr/actuali...
Bayer-Monsanto mainbasse sur les semences https://www.alternatives-economique...
L’empire pharmaceutique Bayer rachète le géant Monsanto http://www.lemonde.fr/economie/arti...
Règlement européen sur les certificat d’obtention vegetale, bien lire les articles 13, 14 et suivant http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ...
Liste de valeurs http://www.unevieextra-ordinaire.co...
Comment Ikea transforme l’inde et vice versa apres un scandale avec ses fournisseurs https://www.lesechos.fr/08/03/2017/...
Différence entre évasion optimisation et fraude fiscale https://www.economie.gouv.fr/facile...
Fiscalité comparée des pays européens https://www.touteleurope.eu/actuali...
Vous êtes entrepreneur ou particulier et souhaitez faire partie d’un réseau d’entraide pour faire face à la crise ? Rejoignez Solid’E&R, le premier espace d’annonces du Réseau d’économie solidaire créé par E&R. Pour cela, il vous suffit d’être adhérent de l’association (merci de rentrer votre identifiant et votre mot de passe d’adhérent pour accéder à Solid’E&R) :