« Je n’aimais pas le fait qu’il voit Jeffrey Epstein. Je lui ai fait savoir. J’ai rencontré Jeffrey Epstein, une fois. Je voulais voir qui était cet homme et je l’ai regretté la seconde où je l’ai vu. Il était abominable, le mal incarné. J’en ai fait des cauchemars par la suite. » (Melinda Gates sur CBS en 2022)
L’OMS de Bill Gates est vraiment une entité maléfique. Non seulement cette organisation fait semblant de lutter pour la santé de tous alors qu’elle lutte pour le profit de quelques-uns, à savoir les multimilliardaires du Big Pharma, mais elle a publié en 2010 un rapport sur la sexualité des enfants qui fait la part belle aux pédocriminels.
On se souvient que Bill Gates a été l’un des grands clients de Jeffrey Epstein, l’Américain de confession juive à la tête d’une organisation pédocriminelle (liée au Mossad) qui servait de la chair fraîche aux grands de ce monde et qui accessoirement les faisait chanter.
Théoriquement, Jeffrey n’est plus de ce monde (ou alors il a été exfiltré), mais ses clients sont toujours en liberté, et n’ont jamais été inquiétés, alors que le carnet noir du pédoproxénète est entre les mains de tous les enquêteurs.
Bill Gates risque la vie derrière les barreaux suite à des accusations de viol d'enfants
Bill Gates a déjà perdu son mariage en raison de son amitié avec le pédophile condamné Jeffrey Epstein, mais il est sur le point de perdre bien plus encore, selon les enquêteurs qui ont… pic.twitter.com/d6jpiHaoxQ
— Brainless Partisans (@BPartisans) November 2, 2023
La vidéo qui suit est une analyse poussée du fameux rapport de l’OMS, qui déclare en quelque sorte le droit au sexe pour les enfants : les droits sexuels des enfants (et de leurs « partenaires » potentiels...), une manière de les rapprocher des adultes, alors que le monde des enfants est de ce point de vue coupé de celui des adultes. En un mot comme en cent, les enfants ne baisent pas, et les adultes ne doivent pas interférer dans leur développement sexuel.
Présentés comme « un plaidoyer pour l’instauration d’une éducation sexuelle holistique qui donne aux enfants et aux jeunes, filles et garçons, une information objective, scientifiquement correcte, sur tous les aspects de la sexualité et qui, parallèlement, les aide à s’approprier les compétences nécessaires pour agir en fonction des connaissances acquises », les Standards pour l’éducation sexuelle en Europe proposent une série de recommandations concernant les enseignements à dispenser aux enfants dès le plus jeune âge dans le cadre de l’éducation à la sexualité, notamment en milieu scolaire.
L’objectif est clair : former les enfants dès leur plus jeune âge aux pratiques sexuelles, ce qui intéresse évidemment les pédocriminels.
Deux spécialistes ont épluché ce rapport : Anne Bilheran, « philosophe, psychologue clinicienne et docteur en psychopathologie, spécialisée dans l’étude de la psychopathologie du pouvoir, de la manipulation, de la perversion, de la paranoïa, du harcèlement et du totalitarisme », et Régis Brunod, pédiatre et pédopsychiatre, « ancien chef de clinique à la faculté de médecine de Paris et ancien maître d’enseignement et de recherche à l’université de Lausanne, ancien expert auprès des tribunaux dans le cadre d’affaires de pédocriminalité » (Source : Epoch Times France).
Le sommaire
00’00 Introduction
02’43 : À qui s’adressent les Standards pour l’éducation sexuelle en Europe et la Déclaration internationale des droits sexuels ? Quel est l’objet de ces textes ?
14’32 : Dans quelle mesure les travaux d’Alfred Kinsey ont-ils influencé les questions liées à l’éducation à la sexualité ?
16’40 : Quelle est la valeur scientifique des travaux sur lesquels l’OMS s’appuie dans le cadre des Standards pour l’éducation sexuelle ?
25’19 : Comment s’explique l’influence des théories de l’Institut Kinsey sur l’OMS et certains professionnels de santé ?
35’26 : Quelles sont les conséquences des enseignements recommandés pour les enfants ?
41’50 : L’immixtion de l’État dans l’éducation à la sexualité est-elle acceptable ?
54’26 : Les questions liées au genre et à l’identité sexuelle ont-elles leur place à l’école ? Les enfants disposent-ils des ressources nécessaires pour en appréhender les enjeux de manière libre et éclairée ?
01"00’37 Quels sont les risques des enseignements liés à la théorie du genre pour les enfants ?
01’’03’11 Quelles conséquences pour les professionnels qui s’opposent aux recommandations de l’OMS en matière d’éducation sexuelle ?
01""09’04 : En quoi la promotion des droits sexuels participe-t-elle du phénomène totalitaire ?
01"13’26 : Conclusion
Anne Bilheran lit l’article 5 du texte du Planning familial international, édité en 2009, dont l’esprit tordu a nourri le rapport de l’OMS :
« Toute personne a le droit d’être reconnue devant la loi et à la liberté sexuelle. Cela implique l’opportunité pour chacun d’exercer le contrôle sur ce qui touche à sa sexualité, de décider librement de ce qui touche à sa sexualité, de choisir ses partenaires sexuels, de rechercher à atteindre son plein potentiel et plaisir sexuels, ce dans un contexte non discriminatoire et en tenant pleinement compte des droits d’autrui et des capacités évolutives de l’enfant... »