Sarkozy : "Avec le RSA...., les revenus du capital seraient mis à contribution pour revaloriser le travail des plus démunis".
Ben voyons.
Et les pisses-copies, aux ordres, de s’extasier : une vraie « mesure de gauche ».
Ont-ils tort d’ailleurs ? Si "de gauche" signifie approuvé par la gauche et l’extrême gauche alors ils ont raison.
Que dit François Hollande ? "Avec le RSA..., les socialistes ont fini par être entendus".
Et Martine Aubry ? « c’est une mesure qui va dans le bon sens, il faut la voter ! »
Et à la « une » de L’Humanité (29 août) : « Taxer le capital ? Chiche ! »
Et le Ruquier rrrrévolutionnaire, Olivier Besancenot prétend qu’avec le RSA, « le pire semble évité ».
Tu parles !
Le RSA, c’est 13 milliards d’euros. 11,5 milliards proviennent d’une réaffectation d’allocations existantes : RMI, PPE, API…
Reste 1,5 milliard, produit de la taxation… de l’assurance vie, c’est-à-dire de… l’épargne de toute une vie des retraités, l’épargne de la majorité de la population, salariés en tête.
Les classes dites moyennes. Les sous-chiens. Voilà ceux que l’on nomme capitalistes en Hexagonie en 2008 !
Tout ça pour faire vivre la racaille, financer les prédateurs parasites, tout ça pour préserver la fortune des véritables nantis ! Des Capitalistes et des banques.
Voilà pour le financement.
Quant à l’objectif du RSA… Voici ce qu’en dit l’un de ceux qui ont préparé ce projet. Denis Clerc, membre en 2005 de la commission présidée par Martin Hirsch qui a prôné l’idée du RSA :
« Les salariés seront contraints d’accepter certains emplois à temps très partiels, emplois paupérisant ». L’im-Monde du 30 août, qui rapporte ces propos, évoque le précédent de la Grande-Bretagne.
L’équivalent du RSA y a été appliqué depuis dix ans. Résultat : « Le fossé entre les riches et les pauvres n’a jamais été si profond depuis quarante ans et un nombre croissant de personnes vivent sous le seuil de pauvreté ». Ce n’est pas moi qui le dit ! Mais toujours l’im-Monde.
Une catégorie a diminué en Grande-Bretagne durant cette période : le nombre — officiel — de chômeurs.
Normal : des millions de familles vivent chichement de miettes de salaires mélangées à des miettes d’allocations.
La ruine des "classes moyennes", des travailleurs enchaînés à la précarité et la pauvreté : voilà ce que prépare le RSA !
On le voit, si "de gauche" voulait encore dire populaire, social, favorable au Travail... la pègre journaliste aurait menti.
Mais ce gouvernement de la droite la plus ploutocratique ne gouverne qu’avec la complicité des dirigeants de la Gauche, grâce à l’appui idéologique des gauchistes, féministes, anti-racistes, sans papièristes de tout poil.
Le grand capital ne reste au pouvoir qu’en faisant les poubelles du défunt mouvement ouvrier.
Ce gouvernement UMP-Ni pute ni soumise, ce gouvernement Kouchner-Dati-Lagarde-Fillon-Amara est une alliance de "La Haute" et des Bas fonds, de la droite économique extrême avec la plus vulgaire gauche des moeurs.
Félix le Chat
Source : http://petitimmonde.blogspot.com
Ben voyons.
Et les pisses-copies, aux ordres, de s’extasier : une vraie « mesure de gauche ».
Ont-ils tort d’ailleurs ? Si "de gauche" signifie approuvé par la gauche et l’extrême gauche alors ils ont raison.
Que dit François Hollande ? "Avec le RSA..., les socialistes ont fini par être entendus".
Et Martine Aubry ? « c’est une mesure qui va dans le bon sens, il faut la voter ! »
Et à la « une » de L’Humanité (29 août) : « Taxer le capital ? Chiche ! »
Et le Ruquier rrrrévolutionnaire, Olivier Besancenot prétend qu’avec le RSA, « le pire semble évité ».
Tu parles !
Le RSA, c’est 13 milliards d’euros. 11,5 milliards proviennent d’une réaffectation d’allocations existantes : RMI, PPE, API…
Reste 1,5 milliard, produit de la taxation… de l’assurance vie, c’est-à-dire de… l’épargne de toute une vie des retraités, l’épargne de la majorité de la population, salariés en tête.
Les classes dites moyennes. Les sous-chiens. Voilà ceux que l’on nomme capitalistes en Hexagonie en 2008 !
Tout ça pour faire vivre la racaille, financer les prédateurs parasites, tout ça pour préserver la fortune des véritables nantis ! Des Capitalistes et des banques.
Voilà pour le financement.
Quant à l’objectif du RSA… Voici ce qu’en dit l’un de ceux qui ont préparé ce projet. Denis Clerc, membre en 2005 de la commission présidée par Martin Hirsch qui a prôné l’idée du RSA :
« Les salariés seront contraints d’accepter certains emplois à temps très partiels, emplois paupérisant ». L’im-Monde du 30 août, qui rapporte ces propos, évoque le précédent de la Grande-Bretagne.
L’équivalent du RSA y a été appliqué depuis dix ans. Résultat : « Le fossé entre les riches et les pauvres n’a jamais été si profond depuis quarante ans et un nombre croissant de personnes vivent sous le seuil de pauvreté ». Ce n’est pas moi qui le dit ! Mais toujours l’im-Monde.
Une catégorie a diminué en Grande-Bretagne durant cette période : le nombre — officiel — de chômeurs.
Normal : des millions de familles vivent chichement de miettes de salaires mélangées à des miettes d’allocations.
La ruine des "classes moyennes", des travailleurs enchaînés à la précarité et la pauvreté : voilà ce que prépare le RSA !
On le voit, si "de gauche" voulait encore dire populaire, social, favorable au Travail... la pègre journaliste aurait menti.
Mais ce gouvernement de la droite la plus ploutocratique ne gouverne qu’avec la complicité des dirigeants de la Gauche, grâce à l’appui idéologique des gauchistes, féministes, anti-racistes, sans papièristes de tout poil.
Le grand capital ne reste au pouvoir qu’en faisant les poubelles du défunt mouvement ouvrier.
Ce gouvernement UMP-Ni pute ni soumise, ce gouvernement Kouchner-Dati-Lagarde-Fillon-Amara est une alliance de "La Haute" et des Bas fonds, de la droite économique extrême avec la plus vulgaire gauche des moeurs.
Félix le Chat
Source : http://petitimmonde.blogspot.com