Après Daech, l’enculade
Après deux ans de terreur sous (faux) drapeau Daech, les Français sont subitement confrontés à une campagne LGBT tous azimuts. Les voilà désormais pris en tenaille entre les deux expressions oligarchiques qui, chacune à leur façon, nous enjoignent à la soumission. Soumission au dogme dominant, à l’idéologie mondialiste avec à l’horizon la disparition de l’homme, blanc et viril de préférence. Il y a donc un rapport certain entre les attentats au vivre-ensemble et les attentats à la pudeur que les Français subissent. L’objectif est simple : obtenir leur reddition, sans conditions.
À l’occasion de « Movember » et d’un dossier spécial sur le plaisir prostatique, 20 Minutes a visité une prostate gonflable et géante...
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Beaucoup d’hommes de plus de 50 ans déambulent donc dans ce petit village pour se renseigner sur ce cancer masculin, ses conséquences, tout en appréhendant leur corps et ce « rite de passage » du toucher rectal. « Pour certains, c’est comme aller à l’abattoir. La symbolique de la prostate est très forte », analyse le docteur Pierre Bondil, urologue et andrologue à Chambéry. Mais quelle est cette « symbolique » ? Surtout, est-ce que le vrai tabou ne se situerait pas ailleurs ? Car, avant de se dégrader en un éventuel cancer, la prostate est une partie du corps qui peut aussi procurer du plaisir sexuel, le plaisir prostatique pouvant déboucher sur l’équivalent du « point G » féminin : Le « point P ».
« Du plaisir via la prostate, je ne savais pas », rétorque Marc. « C’est souvent pratiqué chez les homosexuels. Posez-leur la question, ils vous répondront mieux que moi », tranche de son côté, gêné, le docteur Pierre Bondil. Pourtant tous les hommes – sans distinction d’orientation sexuelle – sont éligibles à ce plaisir.
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« Il y a beaucoup d’hommes qui aiment les toucher rectaux, dans un cadre sexuel, mais ils n’en parlent pas parce que c’est tabou. Alors que de nombreux couples hétérosexuels le pratique dans leur sexualité », lance une femme d’une cinquante d’années, près du stand cancer et sexualité. Même constat immédiat chez les femmes plus jeunes, un peu plus loin. « Il y a un tabou autour de cette pratique dans la société. J’en ai déjà parlé avec des amies et je sais que certains hommes aiment qu’on leur mette un doigt dans l’anus et que cette pratique n’est absolument pas réservée aux homosexuels. Mais les mœurs n’ont pas encore évolué », analyse Claudia, 20 ans, étudiante en sociologie à Paris Descartes.