Se poser encore des questions sur l’arnaque de cette maladie équivaut à vouloir placer un éléphant dans un couloir en espérant pouvoir encore y circuler.
Le Pr Perronne ne minimise rien, il pêche même parfois par excès lorsqu’il se positionne en tant que scientifique encore attaché à l’autorité d’État qui n’en est plus un, puisque pris en otage par une équipe de margoulin qui solde le pays en veillant à prendre leur billet au passage.
Les joueurs de Monopoly mondiaux ont convaincu les gouvernements d’organiser la transition de l’économie avec la volonté d’un contrôle plus efficace, basé sur les technologies numériques (I-A, Big Data, puces...).
Cela nécessite l’effondrement de l’ordre ancien par l’identification, la sélection, puis l’élimination (la plus discrète possible) des individus qui ne voudront ou ne pourrons pas s’adapter.
On parle de camp FEMA sur le sol américain, cela ne m’étonnerait pas que cela soit le cas en France ou plus largement en Europe (des vidéos circulent déjà) qui servent d’ailleurs aujourd’hui pour les migrants, pourquoi pas pour nous demain.
La logistique est prête, les modalités de ce que sera la nouvelle économie basée sur une monnaie numérique quasiment acté (guerre intestine entre l’Est et l’Ouest) ainsi que le ciblage pour le tri des citoyens en cours via les tests, le fichage administratif, les piratages d’Etats etc... !
Qui est déconnecté des réalités et des buts derrières les décisions sois disant absurde ? Certes elles sont largement décorrélés de la réalité scientifique, pas de la bonne vieille stratégie politique.
Ce qui est absurde c’est de croire que les décisions gouvernementales sont prises dans la panique et l’amateurisme alors qu’elles visent des objectifs que l’on refuse d’envisager
La politique (gouverner) c’est prévoir, l’ancien monde devant être sacrifié sur l’autel de la nécessité d’une gouvernance mondiale, reposant sur l’organisation de l’économie de la rareté et le contrôle citoyen (dixit Jacques Attali).
Un seul auditeur aura soulevé une partie des problématiques qui nous concernent tous, balayé d’un revers de la main pour in fine, revenir sur les constats de l’épiphénomène qu’aura été cette pandémie.
Les scientifiques eux mêmes auront contribué, sciemment ou non, au succès de l’entreprise en cours, quitte à ruiner la science elle même, lui préférant la gloire et le faste plutôt que la lumière de la vérité.
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