Egalité et Réconciliation
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Pourquoi le pétrole ne profite pas au peuple algérien

Par la rédaction d’E&R

La Sonatrach, première société africaine, douzième groupe pétrolier mondial, 30 % du PNB algérien, fort de ses 41 000 employés (120 000 avec les filiales), envoie un message au monde entier : ses ingénieurs viennent de découvrir un immense gisement à Amguid Messaoud (120 km de Hassi Messaoud, centre pétro-névralgique du pays et plus gros gisement d’Afrique), estimé à 1,3 milliard de barils. Le tarif du baril (160 litres de brut, qui donnent 67 litres raffinés) est actuellement de 95 dollars, et va forcément grimper dans les vingt prochaines années. N’oublions pas les coûts d’extraction, qui augmentent évidemment avec la difficulté, comme c’est le cas avec ce nouveau gisement, moins accessible que les précédents.
Le peuple algérien sait qu’il ne profitera pas de cette richesse souterraine.

 

Un pays riche rempli de pauvres

Pourtant, le pays dispose de 40 mois de réserves pour ce qui concerne les importations, qui assurent l’essentiel de la consommation du pays. C’est-à-dire que le pays n’arrive pas à produire ce qu’il consomme, et qu’il utilise ses pétrodollars pour faire ses courses. Au lieu d’équiper le pays, comme Boumédiène l’a tenté dans les années 70 (expérience socialiste). Que s’est-il passé ? Comment un pays peut-il être si riche (173 tonnes d’or, 200 milliards de dollars de réserves… placés à 80 % en bons du Trésor américain ou obligations européennes... et qui rapportent 4 milliards par an au pays) et ses citoyens si pauvres ?

 

 

La consommation intérieure par habitant en 2007 est inférieure à celle de 1985, avec des revenus pétroliers croissants ! Le revenu par habitant passe de 2 500 dollars par an en 1990 à 1 500 dollars en 2001. Bien sûr, chacun sait que l’élite, certains disent la mafia, à la tête du pays, capte une partie de cette richesse et que la redistribution est mal assurée, les généraux lâchant du lest quand le peuple commence à s’énerver.

La consommation de viande, poulet et poisson en kilos par habitant en Algérie (29), est inférieure à celle des Tunisiens (35), des Marocains, ou des Égyptiens, qui ne bénéficient même pas de rente pétrolière !

Et si le pétrole avait freiné le développement de l’Algérie ? Question que nous avons posée à Hocine Malti, auteur d’une excellente Histoire secrète du pétrole algérien, sans obtenir de réponse. Revenons justement sur cette histoire… cruelle. Comme si le pétrole, miracle pour la Révolution (la Sonatrach est créée un an après 1962), s’était transformé en poison national. En boulet pour le peuple. Avec la violence du contraste entre une élite opulente et un peuple au bord de la crise de nerfs.

 

 

Avant 1962, ce sont les compagnies françaises, d’État ou privées, les ancêtres de Total et d’Elf, qui exploitent le pétrole algérien. Le gaz ne compte pas, on le brûle, la crise du pétrole ne l’ayant pas encore valorisé. La guerre de libération, qui dure de 1954 à 1962, n’empêche pas les compagnies françaises de travailler. D’ailleurs, des contrats d’État à État bien ficelés par les Français feront qu’elles continueront à pomper le sous-sol algérien jusqu’au début des années 70. Tout en reversant un pourcentage des bénéfices au gouvernement algérien. Ce n’est qu’en 1971 que Boumédiène va brusquement nationaliser toutes les sociétés pétrolières, chasser les Français, tout en les indemnisant. Les Français n’aideront pas les Algériens, qui devront former leurs propres cadres sur le tas. Un tour de force qui sera applaudi par toute la planète non-alignée. La Sonatrach, dont le logo a été dessiné par Siné, compagnon de route du FLN, sera la première société nationalisée du « tiers monde » à s’émanciper de ses anciens maîtres… à l’exception des spécialistes du forage, venus des États-Unis, et plus précisément du Texas, prélude à de secrets et durables liens avec le lobby militaro-industriel américain. Un jeu antifrançais très au goût des Américains. Mais un jeu à risque, selon Malti :

« Cette politique, qui consistait à attirer les compagnies pétrolières américaines vers l’Algérie afin de sortir du face-à-face avec la France, évoluera, en raison de la soif de pouvoir et du désir d’enrichissement personnel de la classe dirigeante, vers une mainmise croissante des firmes américaines sur le pétrole algérien. Puis viendra le temps de la compromission totale, de la collaboration avec les officines de renseignement et avec le lobby militaro-industriel américains, qui entraîneront le pays vers le gouffre au fond duquel il se trouve aujourd’hui. »

Boumédiène est mort, vive la corruption

On ne peut pas parler du pétrole algérien sans évoquer le clan qui a mis la main dessus. Le colonel Boumédiène a tenu le pays d’une main de fer jusqu’en 1978, date de sa mort à 46 ans, naturelle ou pas, le débat n’est pas clos. Pragmatique, Houari tolérait une certaine corruption, inévitable dans un pays pas encore structuré, mais c’est après lui que la corruption d’État, sous Bendjedid, s’est déchaînée. Le pays a alors rétropédalé, du point de vue indépendance, et les deux chocs pétroliers, qui avaient multiplié par dix les revenus pétroliers, n’ont pas bénéficié au peuple.

Pire : chaque baisse des prix du pétrole, malgré l’OPEP, contrée par l’AIE, montée pour l’occasion (l’Agence internationale de l’énergie est un plan anti-OPEP des Américains, sous la houlette de Kissinger), comme celle de 1988 (chute à 10 dollars le baril), provoquant de violentes tensions sociales. Mort pauvre, avec moins de 700 dinars sur son compte, Boumédiène disparaît avec une époque : celle de la pureté révolutionnaire. La suivante, la décennie 80, sera celle du gavage des généraux et du DRS, ex-sécurité militaire (SM la bien nommée). Et du désastre.

En juillet 2013, l’Algérie est classée 105e pays sur 107 pour la corruption par le baromètre Transparency International.

 

Insécurité militaire

Chadli Bendjedid, le choix des généraux (selon eux un mou qui délègue), nouveau président algérien, crée en 1980 une Cour des comptes calquée sur la nôtre, qui établit que Bouteflika, ministre des Affaires étrangères pendant quinze ans, a piqué 60 millions de francs au pays, placés sur des comptes en Suisse. Pour sa défense, Bouteflika s’enfuit. Et revient sept ans plus tard, avec l’imprimatur de Belkheir, le vrai maître du pays, et de sa clique, largement plus corrompus que lui.

Les années 80 en Algérie sont paradoxales : le niveau de vie s’améliore, mais en trompe-l’œil. La réforme économique de Chadli désarçonne les grandes sociétés publiques, et les produits « made in Algeria » sont peu à peu remplacés par des importations. La production nationale chute, mais les étals sont pleins, les fruits reviennent, le peuple croit bénéficier du robinet de la richesse pétrolière, qui coule à flots. En réalité, le pays est sauvé par l’explosion du prix du pétrole, en restant à la merci de la moindre baisse. La gestion calamiteuse de l’économie produit chômage et pauvreté, essor des trafics, la corruption devenant, à tous les niveaux, le seul moyen de s’en sortir. Comme le dit Hocine Malti, la conjonction de quatre éléments produit la catastrophe annoncée : dégringolade des prix du pétrole, augmentation exponentielle des dépenses, remboursement de crédits bancaires lourds, et absence d’investissements productifs.

« L’Algérie a mangé son pain blanc en quelques années. De l’opulence en 1980, elle tombe dans la cessation de paiements en 1988. »

Le peuple, variable d’ajustement du pouvoir

Politiquement, les luttes internes au pouvoir entre le Président, le Premier ministre Brahimi, l’ex-ministre du pétrole Abdesselam, et Messaadia, l’incarnation du FLN, contestant le pouvoir de Belkheir, qui se prenait pour « le Dieu de l’Algérie », poussent ce dernier à un dangereux calcul : afin d’affaiblir Chadli, et obtenir la tête de Messaadia, il organise – tenant avec ses subsides les circuits d’importation des biens de première nécessité – la pénurie de biens de consommation de 1988, qui provoque les émeutes que l’on sait. Férocement réprimées, elles feront cinq cents morts. Et grillent le pouvoir officiel. Mais le feu politique des apprentis sorciers se transforme en véritable incendie social, et en revendication démocratique. Les clans opposés s’accusent alors, par médias interposés, d’être responsables du soulèvement. Le pays sombre dans la guerre civile, lorsque le résultat des élections de décembre 1991, la victoire du FIS, est bafoué par les généraux. Qui sortent alors de l’obscurité, confirmant qu’ils détiennent le pouvoir depuis dix ans.

Ils ne reculeront devant rien : Boudiaf est assassiné, essentiellement à cause de l’enquête qu’il lance sur les fortunes accumulées par ceux qui l’ont amené au pouvoir, les généraux « janviéristes ». Le coup d’État de janvier 1992 est aussi le point de départ de la mise sous tutelle de la Sonatrach. Après de sombres luttes, la société « nationale » finit par tomber dans l’escarcelle du DRS. L’argent détourné est alors utilisé pour toutes les opérations spéciales, comme l’achat d’opposants ou de chefs de groupes. Ou la corruption de partis politiques français.

 

L’Algérie sous pression américaine

Dix ans plus tard, la guerre est « gagnée ». Au prix de soixante mille morts, officiellement, plus de cent mille officieusement, sans compter les disparus. Les GIA sont pilonnés, ou « retournés » par le DRS, et l’Armée islamique du Salut s’est rendue. Les généraux tiennent le pays, qu’ils pillent d’une main de fer. Et curieusement, l’antiaméricanisme de façade se lézarde, même si l’Algérie mène le combat anti-impérialiste depuis les années 60, de par ses relations avec les non-alignés (Vietnam).

« Nous devrons déblayer le terrain pour les entreprises américaines présentes à l’étranger et faire en sorte que les barrières au commerce et à l’investissement soient réduites. » (Source NEPDG)

En mai 2001, l’accession de George W. Bush au pouvoir bouleverse les relations internationales. Une étude américaine, le Report of the national Energy Policy Development Group , fait prendre conscience aux Américains de leur dépendance énergétique, produit des chocs pétroliers successifs, et de la limite des réserves nationales. Conclusion du NEPDG : si ce déficit énergétique perdurait, « il porterait inévitablement atteinte à notre économie, notre niveau de vie et notre sécurité nationale ». Sécurité nationale, le mot magique. Mais aussi tragique. Le vice-président Dick Cheney est à la manœuvre. La politique « choisie » par Bush (en réalité il est engagé pour appliquer cette option) va engager les États-Unis sur vingt ans : ils doivent sécuriser, à tout prix, leur approvisionnement énergétique. Le 11 Septembre est lancé, l’invasion de l’Afghanistan, puis de l’Irak, et ça continue. Une décennie de guerres pour le pétrole, le gaz, les pipe-lines, et contre les nations qui résistent. Bush est l’instrument du lobby texan militaro-industriel, relayé par les faucons de Washington, qui dicte sa loi.

 

« Les néo-conservateurs de la Maison Blanche décidèrent alors que tous les moyens, politiques, diplomatiques, économiques ou militaires, légaux ou illégaux, devaient être mis en œuvre pour remédier à la situation. Le NEPDG proposait également de moduler les relations des États-Unis avec les pays producteurs de pétrole en fonction de leur situation politique. Et il recommandait les lignes générales de la politique à adopter vis-à-vis des grandes régions pétrolifères du monde, qui permettrait aux grandes compagnies pétrolières américaines de s’y installer durablement. Il appartiendrait alors au Président et à son exécutif de programmer les actions indispensables afin d’aider le compagnies à pénétrer ces zones et de prévoir les moyens humains et matériels nécessaires à l’État fédéral pour protéger leurs intérêts. » (Hocine Malti)

Le rapport avec l’Algérie ? Il arrive. Malti rappelle qu’en septembre 2002, le secrétaire d’État adjoint au commerce américain, Samuel Bodmann, déclare à Alger :

« L’ouverture du secteur énergétique algérien au capital étranger, aux entreprises pétrolières américaines en particulier, ouvrirait des perspectives de coopération plus importantes, y compris dans le domaine de la technologie militaire et de la défense. »

Réponse de Bouteflika dans le Washington Post du 22 novembre 2002 :

« L’Algérie ambitionne de devenir le premier producteur de pétrole du continent africain et d’assurer ainsi aux États-Unis la sécurité énergétique supplémentaire dont ils ont besoin. »

 

Banana Theory

Mais l’amour déclaré de l’Algérie aux États-Unis ne s’arrête pas à la livraison de pétrole. Il se poursuit dans le renseignement. La Sécurité militaire détient des infos de premier ordre sur les milieux islamistes, qu’elle a commencé à infiltrer au milieu des années 80, ce qui lui permettra de manipuler certains GIA à partir de 1992. Des agents algériens nouent même des relations avec des Talibans (en lutte contre les Soviétiques) et la (très) nébuleuse Al-Qaïda. Informations précieuses qui font saliver la CIA. Pourquoi servir la soupe aux Américains, demandent les esprits naïfs ? Bouteflika, enfin porté au pouvoir par les généraux, après de longues tractations (il se révèlera moins manipulable que Bendjedid), a été mal élu. La veille du scrutin, les généraux s’arrangent pour que les autres candidats se retirent… Un déficit de légitimité nationale que Bouteflika soignera par une légitimité internationale, à savoir l’appui des États-Unis… qui ne demandaient pas mieux… pétrolement parlant ! Sans compter que le nouveau président algérien avait besoin de blanchir ses actions passées.

Renvoi d’ascenseur immédiat des Yankees : GIA et GSPC sont inclus dans la liste des organisations terroristes internationales. Même si, comme le souligne Malti, les GIA étaient pour l’essentiel une création du DRS et que le GSPC n’avait aucun lien avec Al-Qaïda !

Malti confirme en passant que les généraux étaient bien derrière les attentats des « GIA » en France, afin d’obtenir un soutien international contre le FIS et freiner les organisations humanitaires sur le mode : « Nous sommes la première ligne de défense de l’Occident face au péril vert. »

 

Halliburton, DRS et CIA

La souveraineté nationale, arrachée de haute lutte par le FLN (neutralisé par le pouvoir), puis consolidée par Boumédiène, est foulée aux pieds : le gouvernement algérien autorise les grandes sociétés pétrolières américaines (Exxon, Texaco), qui lorgnaient déjà sur le Sahel et le pétrole tchadien (en poussant les méchants Français dehors), non seulement à extraire, mais à posséder le pétrole en sous-sol. L’US Army, logiquement, suit les multinationales, et vient « sécuriser » les régions intéressantes. Comme par hasard, Al-Qaïda, battue en Afghanistan, se réinstalle dans la banane africaine reliant la Mauritanie à l’Érythrée. C’est la Pan Sahel Initiative. Et si cette implantation peut aussi servir à limiter l’influence chinoise… c’est d’une pierre trois coups !

Et là, on rentre dans la heavy magouille : la société KBR, bras armé de Halliburton (présidée par Dick Cheney) en Algérie, crée une filiale commune avec les Algériens, baptisée BRC (Brown & Root Condor), qui gèrera plus de 13 milliards de dollars d’affaires obscures jusqu’à sa dissolution en 2007. Le pétrole gicle, les dollars pleuvent, les infos circulent. Matérialisation de cette collaboration au plus haut niveau, la création d’une base militaire américaine discrète dans le sud du pays en 2002, dans le dos du peuple algérien. Les Américains conservent d’ailleurs toujours un droit d’atterrissage à Tamanrasset…

Boumédiène, le pur (mais aussi le dur), se retourne encore dans sa tombe. La Sonatrach devient l’outil politico-financier des puissants. Bouteflika, habitué des pompages, y puise 100 millions de dollars pour sa campagne de réélection de 2009. Plus grave : selon Malti, entre 2004 et 2009, les prix du baril grimpent jusqu’à 150 dollars, or le budget de l’Algérie est établi sur la base d’un baril à 19 dollars$. Du coup, 85 % des recettes pétrolières n’apparaissent plus dans les comptes de l’État ! Le Mouvement algérien des officiers libres, très remonté contre Belkheir, qu’il accuse de trahison et d’imposture, parle de 60 milliards de dollars évaporés.

 

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Larbi Belkheir (à gauche)

 

Rappelons toutefois que les relations souterraines entre États-Unis et Algérie datent d’avant Bouteflika : Messaoud Zeggar, compagnon (et trafiquant) d’armes de Boumédiène, était son go between en Amérique. L’antiaméricanisme officiel cachant un véritable lobbying algérien au plus haut niveau du pouvoir américain. Zeggar était en effet très introduit chez les Kennedy, auprès du président de la Chase Manhattan Bank, ou de Nelson Rockefeller, gouverneur de la ville de New York. Un bâton que Bouteflika, rompu aux relations internationales, reprendra. Coulé par Belkheir, Zeggar sera accusé d’avoir vendu l’Algérie aux Américains… et d’être un agent de la CIA. Cela permettra à Belkheir de récupérer ses réseaux et de mettre la main sur les comptes du FLN à l’étranger…

Conséquence de ces conflits d’intérêts et de ces politiques à courte vue : l’Algérie, pays producteur de gaz et pétrole, à cause de sa sous capacité de raffinage, doit en importer pendant hiver 2011-2012 !

Conclusion de l’auteur :

« Il est vrai que les Algériens ont vécu leur printemps en octobre 1988 et que, au prix de plus de cinq cents morts, ils avaient alors réussi à briser le carcan du parti unique, à imposer la liberté d’expression, la liberté de la presse et la tenue d’élections libres. Depuis, le régime a repris la situation en main. Après avoir destitué en janvier 1992 le président de la République qui avait concédé ces avancées démocratiques, les chefs de l’armée et du DRS ont, au nom de la lutte contre le terrorisme, fermé tous les espaces de liberté qui s’étaient créés et déchaîné un terrorisme d’État qui a fait des dizaines de milliers de morts. Ils ont noyauté et manipulé les partis politiques qui avaient vu le jour au lendemain du 5 octobre 1988, tant et si bien que l’émeute est devenue depuis le seul moyen d’expression dont dispose la population. »

La révolution algérienne n’est pas terminée.

Autour du sujet, sur Kontre Kulture :

 






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  • #575949
    Le 3 novembre 2013 à 22:44 par Raskol
    Pourquoi le pétrole ne profite pas au peuple algérien

    Les posts ici sont typiques des Algériens, une critique (virulente ou non) est prise pour une insulte. Ca m’étonne pas que les ancêtres des marchands de jeans de la LDJ viennent souvent de chez nous, même dinguerie hystérique...

    Ha il faut aussi toujours compter sur quelques petits névrosés arabophones pour cracher sur les berbères - ils le sont aussi mais, chut, ne pas leur dire -, qu’est-ce qu’on y peut si de 1870 aux maquis de la guerre d’indépendance en passant par le mouvement de Hadj, les berbères étaient en masse, et qu’ils se sont fait arnaquer méchamment depuis 1963...

     

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  • #575973
    Le 3 novembre 2013 à 23:05 par algerienne
    Pourquoi le pétrole ne profite pas au peuple algérien

    La réaction des algériens ou des personnes ayant des origines algérienne, elle a le mérite de voir que les éventuels déstabilisateurs ou envahisseurs de l’Algérie ne pourront compter ni sur la diaspora algérienne ni sur le peuple algérien. Et à l’Algérie la liberté et l’indépendance totale !

     

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  • #576035
    Le 4 novembre 2013 à 01:33 par Pierre Ghi
    Pourquoi le pétrole ne profite pas au peuple algérien

    Pourquoi le pétrole ne profite pas au peuple algérien ? Mais parce que l’Algérie profite à Israël. Pourquoi les richesses des territoires ne profitent pas aux peuples qui les occupent ? Parce que Israël s’occupe de profiter des richesses des territoires des peuples. Pourquoi, majoritairement, les nations ne sont plus souveraines et démocratiques ? Parce que Israël n’est pas une nation et parce que pour Israël, seule sa dictature est souveraine. Pourquoi les peuples de Terre s’appauvrissent à ce point ? C’est parce que le Nouvel Ordre Mondial a besoin d’une énorme quantité de fonds et que financer le chaos coûte cher, qu’il y a beaucoup d’intermédiaires à corrompre, qu’il faut bien se payer pour la somme de travail accompli et apaiser son appétit gargantuesque de richesses et de possessions matérielles.
    Et pourquoi, enfin, les peuples de Terre finiront par se révolter ? Mais, c’est parce que Israël va trop loin, c’est parce que la principale force d’Israël, c’est notre faiblesse, notre peur et le jour où nous cesserons d’avoir peur d’Israël, notre faiblesse deviendra notre force, notre force deviendra la faiblesse d’Israël et là, ce sera au tour d’Israël de connaitre la peur et la culpabilité.
    Quant à nous, peuples de Terre, nous devrons gérer notre honte d’avoir été si faibles, nous devrons faire acte de repentance pour tous les morts que notre peur ou notre égoïsme ont engendrés et ce n’est qu’à ce prix-là que l’Humanité pourra véritablement renaitre dans un Monde réconcilié et en paix avec son douloureux passé.

     

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  • #576057
    Le 4 novembre 2013 à 02:48 par jojo2k3
    Pourquoi le pétrole ne profite pas au peuple algérien

    Corruption, lutte de clan etc...c ’est bizarre ça me rappel la France, sans le pétrole...

     

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    • #576993
      Le Novembre 2013 à 00:20 par Karim
      Pourquoi le pétrole ne profite pas au peuple algérien

      Oui c’est exactement ça, t’as tout compris : la France c’est l’Algérie sans le pétrole.

      C’est pour ça que les français regardent l’Algérie avec délectation : ils se disent qu’avec ce que le 93 a apporté (et apporte toujours) à la France, il faut aller à la source du dynamisme, du sens du travail, de la création, de la droiture, du respect des autres, de la culture, de l’harmonie.

      L’Algérie ? Plus qu’un modèle, une passion je vous jure ! (avec l’accent de Gad, si c’est possible, ça fait plus vrais)

       
  • #576493
    Le 4 novembre 2013 à 15:56 par Accro
    Pourquoi le pétrole ne profite pas au peuple algérien

    Le pays a traversé des moments difficiles c’est certes, le peuple a payé le prix fort dont beaucoup de famille algérienne ont perdu un membre voir plusieurs. Qui est le responsable ? Le FIS ou l’état ? Ce qu’elle fournit l’état au peuple est insuffisant par rapport sa richesse, l’état fait que de calmer le peuple et l’en dormir. Alors soyons objectif et réaliste l’Algérie est est pays qui a les moyens mais pas le bon gouvernement " militaire" pour continuer son évolution économique et sociale.
    l’article suscite un débat du fond concernant la vie quotidienne des algériens et non celles des tunisiens ou bien des marocains !!! Je le suis et fier de l’être mais je ne l’accepte pas un tel abus du pouvoir algérien !!!

     

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  • #576714
    Le 4 novembre 2013 à 19:08 par myself13
    Pourquoi le pétrole ne profite pas au peuple algérien

    Je trouve cet article assez drôle ! L’élite dans ce pays ressemble à un un tas de criquets pèlerins arrivant dans un champs de blé, ils sont en incapacité totale de se retenir. Jamais le délire et l’enivrement de la convoitise n’a atteint son apogée que dans le cas de cette élite d’Algérie, Elle a cédé tellement peu d’argent au peuple que ce derniers préfère ignorer que cette rente existe, réduit au rang de simple consommateur, jamais un peuple n’a autant été écarté de l’économie de leur pays mais y’ a t il une explication à cette situation ?!
    Les algériens aimeraient profiter de leur argent oui c’est normal, le problème c’est qu’ils ont l’indiscipline dans le sang, la transgression facile, l’avidité et la convoitise démesurée et sont très très peu croyant (ils sont certainement musulmans), alors que dire de leur élite ?!
    En d’autres termes, la notion de mérite n’existe pas. Pierre Hillard souligne l’aspect bon ou mauvais de l’élite mais celui-ci n’est il pas inhérent au vouloir du peuple, les algériens (indépendamment de l’ethnie) ne se démarquent pas des pratiques de leurs élite, ils leur ressemble beaucoup !
    Finalement l’ordre de DIEU est parfait non !!! On a que ce qu’on mérite, même la terre n’est jamais sortie de son orbite, pas un laps de temps ! Pourquoi les algériens dérogeraient ils à la règle ?

     

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    • #576925
      Le Novembre 2013 à 22:40 par Mister AB
      Pourquoi le pétrole ne profite pas au peuple algérien

      Et pourtant d’autres pays voisins ont pu échapper à ce destin !

       
    • #576941
      Le Novembre 2013 à 23:02 par D. Kada - Oran
      Pourquoi le pétrole ne profite pas au peuple algérien

      Finalement l’ordre de DIEU est parfait non !!! On a que ce qu’on mérite, même la terre n’est jamais sortie de son orbite, pas un laps de temps ! Pourquoi les algériens dérogeraient ils à la règle ?



      Si on suit jusqu’au bout ton raisonnement, qui généralise outrageusement, on peut expliquer pourquoi les pays musulmans sont tous, sans exception, en carence de développement ? Aucun d’eux ne fait partie des pays développés et encore moins des puissances émergentes car tous gravitent autour de l’Islam qui, on peut le conclure selon ta loi divine, entrave leur émergence vers un développement certain à l’Image des pays occidentaux. On a que ce qu’on mérite, n’est-ce pas ? Théoricien de mes deux.

      Le Meilleur DK

       
    • #577883
      Le Novembre 2013 à 22:23 par Karim
      Pourquoi le pétrole ne profite pas au peuple algérien

      Oui, tout à fait d’accord avec vous sur l’« explication à cette situation ».
      Il y a un problème fondamental, celui du manque de civilisation tout simplement.
      Cela fait 50 ans qu’ils sont indépendants, mais la rue algérienne ne comprend toujours pas l’arabe pourtant érigé en langue nationale (ce n’est d’ailleurs peut être pas une bonne chose pour eux qui ne sont pas arabes, mais il fallait bien inventer de toute pièce une langue « nationale » différente du français seul compris, aimé et haïs).
      La langue est fondamentale dans l’identité. Ce que l’on parle en Algérie, c’est un créole formé de berbère, de français, d’arabe, d’espagnol, le tout (à part peut être le berbère) complètement mélangé déformé.
      Une haine d’eux mêmes les habite qui se transforme souvent en haine de l’autre, comme si cet autre était responsable de cette misère.
      A cela viennent s’ajouter les problèmes soi-disant ethniques alors qu’ils sont tous berbères.
      Un pays qui baigne dans la méditerranéenne mère des civilisations mais dans lequel on trouve normal de séparer hommes et femmes aux cérémonies de mariages... Arriération, archaïsme, totalement en dehors de la culture méditerranéenne et de l’Histoire.
      Pas étonnant que tout y foire.
      Pourtant, sur le papier, tout devrait être pour le mieux dans le meilleur des monde : pétrole et gaz à gogo, grand pays etc...

       
    • #578172
      Le Novembre 2013 à 09:38 par algerienne
      Pourquoi le pétrole ne profite pas au peuple algérien

      Le seul point sur lequel je suis d’accord c’est quand tu dis que les algériens ne sont pas très religieux.

      Karim
      Une haine d’eux mêmes les habite qui se transforme souvent en haine de l’autre, comme si cet autre était responsable de cette misère.

      Mais quand je lis ça, je me dit que soit la connerie est bel et bien de ce monde soit que tu as a un véritable problème avec les algériens.

      Un pays qui baigne dans la méditerranéenne mère des civilisations mais dans lequel on trouve normal de séparer hommes et femmes aux cérémonies de mariages...
      Cela ne veut strictement rien dire, qu’est ce que la méditerranée, mère des civilisations a à voir avec la non mixité des mariages ?
      De plus, la mixité a un mariage n’est ni un marqueur de modernité ni un marqueur d’avancée dans une société.
      Il faut dès fois savoir mettre de côté ton inimitié contre les algériens pour pouvoir (c’est de l’ordre de la capacité) avoir un raisonnement claire et pas biaisé.

      Arriération, archaïsme, totalement en dehors de la culture méditerranéenne et de l’Histoire.
      En ces temps,l’archaïsme ce n’est pas en Algérie mais en Tunisie, Qatar, Égypte où sévissent des groupuscules extrémistes qui font une opposition face à la modernité tellement ils ont l’esprit malsain.

       
  • #576945
    Le 4 novembre 2013 à 23:07 par Karim
    Pourquoi le pétrole ne profite pas au peuple algérien

    Je suis français né en France, de parents tunisiens.
    A l’université j’ai fréquenté des étudiants arabes : libanais, tunisiens, syriens, palestiniens.
    J’ai aussi croisé des étudiants maghrébins (algériens et marocains).
    Parlant l’arabe standard (compris dans tous les pays arabes) je connais assez bien les caractéristiques de ces peuples (à noter que l’arabe ne m’a été d’aucune utilité avec les algériens et marocains).
    J’ai vu et je vois beaucoup de violence chez les algériens. Et je doute (je suis même sûr du contraire) de leur capacité à produire quelque chose chez eux.
    L’histoire le confirme : les civilisations sont passées. Aucune n’a fleuri en Algérie.
    Le bien être, la convivialité est une abstraction chez eux. C’est triste pour eux.
    Je note toutefois certains commentaires encourageants de la part d’algériens qui abandonnent le discours victimaire pour poser les véritables questions.
    Il y a beaucoup de travail. autant commencer le plus tôt possible. Et bon courage même si je suis assez pessimiste.

     

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    • #577185
      Le Novembre 2013 à 10:58 par karima
      Pourquoi le pétrole ne profite pas au peuple algérien

      j’espère que votre commentaire est de l’humour sinon c’est vraiment une catastrophe ! voyez vous un "franco-tunisien" expliquant que les Algériens et de un sont violents et deux ne produisent rien mais c’est un comble,et vous ajoutez" Le bien être, la convivialité est une abstraction chez eux",il y’a un adage arabe de chez nous les Algériens qui dit puisque vous dites le comprendre "ki toussoul elmartaba hedar"je traduis "quand vous aurez atteint le niveau" vous l’ouvrez sinon fermez là à tout jamais".

       
    • #577333
      Le Novembre 2013 à 14:15 par D. Kada - Oran
      Pourquoi le pétrole ne profite pas au peuple algérien

      Encore « un théoricien généraliste » motivé par la haine et la jalousie. Je te rappelle monsieur « le presque français » de par tes origines culturelles et de par le hasard de l’émigration, que nous ne sommes pas entrain d’élucider le mystère de l’Atlantide ni de parler de celui qui inventa la roue. Nous discutons d’Histoire récente et actuelle. Et cette Histoire-là nous enseigne que le Pays de la Harissa est devenu indépendant non pas par des faits d’armes longs et héroïques mais grâce à la révolte armée des algériens que la France a voulu, en vain, étouffer en s’y consacrant exclusivement et par conséquent en se débarrassant de quelque colonie encombrante et aride économiquement comme la petite Tunisie.

      Que produit la Tunisie depuis 1956 ? Je te le demande monsieur « le presque français » ? De la technologie de pointe ? De la philosophie sidérale ? Ce n’est pas en interdisant au muezzin de faire l’appel à la prière via amplificateur de son, au temps de Bourguiba et de Ben Ali, que tu peux avoir l’illusion que ton autre pays, appartenant à une aire géographique symbolisée par le croissant, ait pu devenir une puissance émergente.

      Que les centaines de milliers de touristes algériens cessent de solliciter vos services hôteliers bons prix, et voilà la petite Tunisie dans la merde. Sois reconnaissant, almost french .

      Le Meilleur DK

       
    • #577927
      Le Novembre 2013 à 23:02 par algerienne
      Pourquoi le pétrole ne profite pas au peuple algérien

      Karim
      J’ai vu et je vois beaucoup de violence chez les algériens. Et je doute (je suis même sûr du contraire) de leur capacité à produire quelque chose chez eux.

      J’ose espérer que c’est une blague.
      Est-ce qu’en Tunisie vous avez des penseurs et écrivains ayant eu un grand succès comme Saint Augustin, l’émir Abdelkader, Mohammed Dib, Kateb Yacine, Yasmina Khadra(traduit dans 42 pays).
      Est-ce qu’en Tunisie vous avez des chanteurs reconnus comme Idir, Lounes Matoub, Cheb Hasni ou une chanson connu et reprise par de nombreux pays comme "ya rayah" ou inventé un genre musical connu dans le monde comme le rai.
      Est-ce qu’en Tunisie vous avez des films ayant eu été reconnu internationalement par des récompenses comme Chronique des années de braise ou L’Opium et le Bâton.

      De plus, la plupart des personnes ayant eu conscience de la manipulation qui se faisait autour des musulmans et du mouvement migratoire sont des personnes ayant des origines algériennes :
      Salim laibi (penseur hors pair) , Sofiane Ghoubali (candidat fn) , Albert Ali, Farida Belghoul, Sid Ahmed YAHIAOUI, Farid SMAHI, Soraya Djebbour, Ghaleb Bencheikh (opposant de Tariq Ramadan)

      De plus, ce que les peuples arabes vivent en ce moment c’est-à-dire aspirer à la démocratie, le peuple algérien depuis son indépendance le vit, ainsi il n’a eu de cesse de se révolter pour plus de démocratie et d’égalité, en témoigne la guerre civile qui n’était qu’une sanction à trop de révolte.
      Le peuple algérien est en avance sur les autres peuples voisins car sa demande de plus de démocratie ne date pas d’il y a un an(comme c’est le cas pour la Tunisie, Maroc, Égypte) et de plus c’est le seul peuple arabo-musulman qui dans sa majorité discrédite et ne tend plus l’oreille aux extrémistes qui d’ailleurs se sont retranchés au fin fond du sahara

      Et que si le bien être et convivialité se résume au phénomène bezness et à l’asservissement du peuple pour satisfaire les touristes et faire des simagrées à longueur de journée pour attirer plus de touristes, alors oui ces notions nous sont étrangères.
      De grâce si les extrémistes contrôlent (et donc ravagent) un jour la Tunisie, de grâce dis à tes compatriotes de ne pas se rendre chez les violents algériens où l’on fait pas les trottoirs pour les touristes et où dignité et honneur sont au gout du jour.

       
    • #589619
      Le Novembre 2013 à 15:35 par jean
      Pourquoi le pétrole ne profite pas au peuple algérien

      Peux tu nous expliquer le niveau dont tu parles SVP parce que j’ai du mal. Il ne faut pas s’énerver quand on dit qu’aucune civilisation n’a fleuri en algérie, à lire plus haut on a l’impression que vous vous rabattez sur la meditérannée "mère des civilisations" et faisant partie des peuples méditéranéens vous seriez à l’origine des civilisations et du développement de l’humanité c’est quand même un peu gros,ou alors expliquer plus avant.

       
    • #595540
      Le Novembre 2013 à 20:09 par algerienne
      Pourquoi le pétrole ne profite pas au peuple algérien

      Jean, des fois quand on manque de sommeil faut aller dormir

       
  • #579018
    Le 6 novembre 2013 à 21:15 par myself13
    Pourquoi le pétrole ne profite pas au peuple algérien

    @Karim et Kada_Oran
    ont répondu à vos âneries : par_algérienne et Karima. C’est dingue !! deux filles.
    @kada_oran
    Quand t’arrive pas à saisir quelque chose, n’appelle pas ça une théorie !!!!!
    Je peux cerner ton niveau psychologique et ta connaissance de l’islam sur ces deux phrases seulement, mais malheureusement pour toi tu as baigné dans un environnement de contradictions et de désarroi qu’il sera très difficile pour toi de remettre de l’ordre dans ta structure psychologique petit prétentieux et grossier que tu es ! Une règle d’or : savoir avant de parler ou faire.
    Pour ce qui es de soulager ton ignorance, l’islam a été un empire des plus puissant et conquérant qui soit (puisque tu es français va te cultiver sur l’influence de l’empire ottomans dans le monde et ses accord avec la France en te rappelant l’humiliant traité signé par l’illustre Charles Quint avec Soliman tout en étant arrivé jusqu’ à Vienne, ou la présence de l’islam en Espagne). L’islam est une des religions les plus structurées et architecturales qui existent, elle a été étudié et admiré (Cluny) par les plus vifs esprits de ce monde avant qu’elle ne soit dénigrée et diffamée par un médiocre et complexé comme toi.
    Pour te répondre l’appellation pays musulman est parfaitement parallèle à celle de banque islamique, c’est à dire une simple appellation. Ces pays ne sont pas développés parce qu’ils ne travaillent pas et ne travaillent pas parce que règne l’anarchie et la corruption chez eux (car pas trop musulmans :élite et peuple confondus) mais aussi parce qu’ils n’aiment pas tous travailler surtout la terre.

     

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    • #579878
      Le Novembre 2013 à 18:09 par D. Kada - Oran
      Pourquoi le pétrole ne profite pas au peuple algérien

      @ myself13

      En lisant tes commentaires je n’ai pas pu m’empêcher de sourire non pas par raillerie mais par pitié et compassion musulmane…

      Pour commencer si tu crois t’adresser à un immigré, à un descendant d’immigré, à un basané ou à un noir vivant en France, tu fais fausse route. Sache que je suis heureux de vivre au bord de la méditerranée mais sur sa rive sud et fier d’entendre toujours cinq fois par jour le muezzin qui, au demeurant, utilise de « la technologie occidentale » pour « amplifier » son appel à la prière.

      Je ne suis pas français. Je ne suis pas un « pique-assiette ». Je suis sûr que je vis mieux que toi. La France ne m’a jamais impressionné, surtout pas maintenant, où les gens qui donnent leurs culs peuvent se marier par "piété laïque" sous l’œil ému de la République de ce qui fut jadis la "fille aînée de l’Eglise".

      Je suis quasiment certain que tu es un français d’origine maghrébine de ceux qui sont récalcitrants à l’ordre laïque. Donc un « français inachevé ». Un français qui n’arrive pas à coïncider son passif ou son héritage culturel et religieux de ses origines et ses acquis républicains et laïques. Bref tu es un français avec une mentalité à repères variables et antinomique. Tout en ayant un regard arrogant sur « le français de souche » pas assez ouvert à tes yeux. Une génération spontanée à deux culs permettrait peut-être à toi et à tes semblables avides et ingrats de s’asseoir commodément sur deux chaises. Et concilierait vos coutumes boueuses et les principes de la Déclaration et de la Laïcité. Avec une seule paire de fesses votre quête sera vaine…

      Si tu n’as pas compris ce que je suis entrain de dire, sache que je ne sais pas communiquer par le Tam-Tam ou par la Fumée. Pauvre « français inachevé ».

      Ce commentaire est aussi valable pour Karim, un autre triste « français inachevé ». Vos deux ; vous êtes de mauvais citoyens de la république laïque. Et vous feriez d’inadaptés citoyens d’un éventuel califat. Car Vous ne connaissez profondément ni la Laïcité, ni l’Islam.

      Le Pire DK

       
  • #579996
    Le 7 novembre 2013 à 19:09 par togus
    Pourquoi le pétrole ne profite pas au peuple algérien

    appel au peuple algérien liez un pacte avec la chine pour l’exploitation, elle vous le rendra bien contrairement à ceux que vous savez et vous aidera à développer des secteurs où vous éprouvez des difficultés :)

     

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  • #581464
    Le 8 novembre 2013 à 22:32 par Si Mohamed
    Pourquoi le pétrole ne profite pas au peuple algérien

    En résumé le mal est dans la non transparence de la gouvernance menée par une diaspora et une élite en compromis avec les militaires. Ce que nous oublions c’est que le GPRA était un gouvernement civil avec des pharmaciens en tête (Farhat Abbes et Benyoucef Benkhedda). Le GPRA était l’âme et le cerveau de la révolution de tout un peuple qui a pu se détacher d’un joug colonial de plus de 132 ans. Malheureusement cette dynamique triomphante sur le colonialisme n’a pu continuer et mener une gouvernance de développement en toute transparence pouvant profiter a tout le peuple offrant une égalité des chances et assurant une équité dans la distribution des richesses. Les exemples de pays emergeants ayant réussi ne manquent pas tel que le Brésil et son président Loula, la Malaisie et son president Mahathir le mexique qui était totalement dépendant des recettes pétrolières durant les années 80 et qui ne dépassent pas les 30 % actuellement et j’en passe sans oublier les états que nous qualifions de minuscule et qui ont une présence et un positionnement mondiale irréprochable. Et quand on sait que notre SNMG est moins que celui des marocain et des egyptiens on se pose beaucoup de questions. Les plus importantes : OU VONTS NOS RICHESSES ? QU’EN EST IL DE LA TRANSPARENCE DANS LA GOUVERNANCE ?

     

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