C’est bien d’avoir un État fort, qui dicte sa loi en matière de construction, de prêts et d’environnement, mais c’est bien aussi de ne pas effrayer les forces du marché, qui ont intérêt à construire pour des Français qui ont intérêt à se loger. Aujourd’hui, le système entier est grippé, et ce sont encore les classes populaires qui morflent.
Le 2eme promoteur du pays explique comment en arrive à amplifier la crise du logement par des normes, des surcoûts & une planification complètement hors sol. Les investisseurs institutionnels sont tous partis. pic.twitter.com/e73TjTk1FQ
— Aurélien Véron (@aurelien_veron) January 27, 2025