La plupart des migrants bloqués depuis des semaines à la frontière française peuvent désormais la franchir. Rencontre avec l’un d’entre eux.
Le rendez-vous est pris dans l’arrière-cour d’un bar miteux de Villeurbanne, aux portes de Lyon. "Pas de photo", demande-t-il d’emblée, une cigarette à la bouche, en se retournant pour vérifier que personne ne nous suit. Naofel préfère rester discret. Mais une fois à l’abri des regards, son visage s’illumine. "Je suis content", lâche-t-il en soupirant, un immense sourire aux lèvres.
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