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Je pense que vous avez omis un élément important concernant cette intervention, la femme en question est HOSPITALISEE, entendez hôpital psychiatrique (d’après ce que j’ai compris). Toujours d’après ce que j’ai compris, il me semble que le "psychiatre" ne dit pas que : souvent les personnes prétendument agressées fabulent, mais plutôt que : souvent les personnes qui se retrouvent dans une situation où ils ont perdu le control, situation difficile, (comme ici avec l’hospitalisation en psychiatrie pour cette femme), ont le besoin d’expliquer comment ils en sont arrivé là et pour cela ils pourraient utiliser/créer (involontairement) des situations où ils ont été abusés pour légitimer leur déchéance.
Cette dernière vision me parait, s’il a vraiment voulu dire ca, tout à fait compréhensible et donc défendable. On l’a surement déjà tous fais de profiter d’un évenement douloureux, mais sans multiples conséquence, pour glisser deux trois erreurs qu’on ferait passer pour conséquence.
J’espère que vous me donnerez vos avis après revisionnage. Mais en tout cas j’aurai trouvé appréciable (si je ne me trompe pas) que sur un site comme E&R on s’y prenne à deux fois avant de faire un constat aussi catégorique. Je pense que notre très chère Alain Soral est bien placé pour connaitre ce genre de constat vite fait sans grande recherche.
@Daysen Pour défendre Rufo, tu fais l’hypothèse que l’internement rappellerait à la fille un autre viol venant expliquer pour elle l’arbitraire de son internement, mais n’expliquerait pas entièrement sa « déchéance » ayant conduit à l’internement ?
La mère explique la « déchéance » par une toxicomanie induite par des médicaments, donc délivrés par un médecin qui les a distribués comme des bonbons. Elle aurait pris autre chose, elle aurait été en cure de désintoxication comme tout le monde et conformément à la loi. Le médecin responsable de l’addiction a demandé à ses collègues de le couvrir par la psychiatrisation d’une toxicomanie iatrogène. C’est le placement à l’asile qui fait sa déchéance d’être humain doté de raison et de conscience. Je suis d’accord sur le fait que nous n’avons pas assez d’information pour affirmer que le viol expliquerait entièrement pourquoi la fille a suivi ou abusé des prescriptions du médecin à ce moment là, ça reste encore à dire, mais il reste qu’elle a été internée abusivement (elle consultait un médecin et on ne peut donc pas parler de refus de soin) et se plaint d’un viol qui concerne d’abord la justice. La psychiatrie n’a pas à étouffer cette plainte en la maintenant enfermée pour lui faire avouer qu’elle aurait aussi d’autres problèmes qu’un petit viol de rien du tout dans l’enfance et ainsi que l’internement était justifié. Vouloir soigner par force est l’apanage des sociétés totalitaires et ça n’a jamais guéri ce genre de problème. La raison en est que la position de psychanalyste est totalement incompatible avec toute position de pouvoir, et particulièrement incompatible avec le pouvoir exorbitant des psychiatres. Si ces théories leur donnent des schémas d’interprétation des troubles dont la validité peut être discutée, ils sont disqualifiés d’avance pour les soigner par la contrainte, la stigmatisation sociale, le chantage à l’enfermement et à la piqûre. La fille doit être relâchée, le médecin prescripteur poursuivi pour négligences, l’asile condamné pour internement arbitraire et la plainte pour viol instruite. Après libre à elle de consulter quelqu’un de son choix si elle n’a pas été dégoûtée par le fonctionnement bulldozer du système de soin français soutenu par Rufo.
Je plussois sur ce que dit @vincent.
La psychologie reste dans son paradoxe historique :
Toujours décriée et pourtant tellement influente. Peu de gens comprennent à quel point leur grille de lecture rationnelle et surtout émotionnelle est issue des acquis sociaux dans ce domaine. Un peu d’intérêt académique les porteraient sans doute à plus de tempérance dans leurs propos …
A l’inverse, pour ceux qui défendent becs et ongles la validité de la dite science, je pense qu’il ne faut pas perdre de vue que ces psys médiatisés agissent en faveur d’un système qui présente tous les signes d’une corruption avancée. Ils peuvent ainsi paraitre valider cette véritable débauche de fin d’empire (à la romaine) et je comprends l’instinct qui pousse certains à se révolter en bloc.
Il y a psys et psys !
Quoi qu’il en soit, la connaissance de la « psychologie » (vaste et non exempt de contradictions et de débats internes) est un excellent outil pour comprendre et expliquer la manipulation de masse à un niveau très détaillé et très complexe (comme par exemple la stratégie du trauma et des alter-ego développée par MK-Ultra et déclinée sous de nombreuses formes dans notre société comme la pub ou dans les sectes).
En espérant que ma réponse apportera un peu d’eau au moulin d’E&R.
Pour en avoir consulté des psys (lors d’une période de dépression) je peux vous dire que ce sont vraiment tous des guignols, imbus d’eux-mêmes (surtout les hommes), ridicules de prétention et de narcissisme, tous à entarter, les uns après les autres. J’en ai vu un qui est connu, passé plusieurs fois à la télé, qui a écrit plusieurs bouquins : à la télé il fait le brave homme mais c’est une merde, pour obtenir un rdv avec lui il faut faire une lettre (genre lettre de motivation quoi, pour avoir la grâce d’obtenir un rdv avec quelqu’un de son envergure !) séances de 20 minutes à 70 euros, à supporter son arrogance et sa futilité !
J’en ai eu un qui voulait à toute force me faire croire que j’avais subi un viol que j’aurais occulté dans ma mémoire, j’avais beau lui dire que c’était faux, il ne lâchait pas l’affaire et m’embarquait dans une voie sans issue... là aussi, j’ai dû laisser tomber à cause de son incompétence dangereuse...
J’avais beau être dépressive je ne me laissais pas conditionner par ces idées saugrenues mais j’imagine que sur certains cela doit hélas marcher, en tout cas ça m’a calmée à tout jamais de cette caste de tordus.
Vous me direz qu’il ne faut pas généraliser, que certains psys font très bien leur boulot, je veux bien le croire bien que je n’ai pas eu l’heur de tomber sur l’un d’entre eux. J’ai laissé tomber au bout d’un moment pour me reconstruire seule et ça va bien mieux ainsi !!
Bon...
Je connais une femme qui a été violée dans son enfance et qui se porte comme un charme.
Puis-je en déduire que l’immense majorité des enfants violés ne sont pas traumatisés après un abus ?
Dans ma vie personnelle, j’ai connu de nombreux cas d’affabulatrices à tendance hystérique.
Puis-je déduire avec certitude qu’une femme de 28 ans sous médicaments est ou n’est pas une affabulatrice hystérique ?
Je suis pédopsychiatre (pas moi c’est un exemple) je vois régulièrement des enfants qui ont été abusé, ou violé, et l’immense majorité ont encore une bonne santé psychique.
Puis-je connaître la totalité des victimes alors même que je ne connais que les victimes déclarées, (qui allaient donc assez bien pour parler ) ?
Imaginons la proposition suivante juste : " la majorité des enfants abusés vont bien, après, à distance"
Alors ça veut dire que si on est enfant et que l’on va mal, on ne peut pas avoir été victime d’abus sexuels ?
Je vais vous dire la réalité des choses sur les abus sexuels. simple bon sens, je n’y connais absolument rien.
l’immense majorité des enfants abusés le sont par un membre de la famille et n’en parlent JAMAIS ! ca c’est la réalité. La majorité des victimes restent silencieuses !
Rufo parle d’un échantillon qui doit représenter 25% (peu importe le pourcentage, j’invente) des victimes d’abus sexuels. Et en plus c’est possible que même là-dessus, il exagère et mente, par intérêt personnel.
Et il reste une question évidente : Si un enfant abusé va bien "à distance", qu’en est-il à l’âge adulte ?
Cette femme de 28 ans n’est-elle pas adulte ?
Au passage j’aimerais dire à ceux qui méprisent la psychologie comme une non-science me font bien rire ! La démocratie de marché repose à peu près exclusivement sur le contrôle psychologique des masses, avec toutes ses dérives marchandes.
On peut définir une science sur la résistance de ses thèses avec le réel, je crois que la psychologie continue d’y résister !
Libre à vous de continuer à croire que la psychologie est moins pertinente et efficace que l’économie et les mathématiques...En réalité, le système capitaliste est entièrement basée sur la psychologie pas sur les mathématiques. Tout repose sur la confiance et la croyance, et la science psychologique des élites est tellement puissante qu’ils arrivent à faire croire qu’un carré rouge est un cercle vert...
Bref, petite parenthèse...ce n’est pas le sujet principal.
“La démocratie de marché repose à peu près exclusivement sur le contrôle psychologique des masses, avec toutes ses dérives marchandes.
On peut définir une science sur la résistance de ses thèses avec le réel, je crois que la psychologie continue d’y résister !
Libre à vous de continuer à croire que la psychologie est moins pertinente et efficace que l’économie et les mathématiques...En réalité, le système capitaliste est entièrement basée sur la psychologie pas sur les mathématiques. Tout repose sur la confiance et la croyance, et la science psychologique des élites est tellement puissante qu’ils arrivent à faire croire qu’un carré rouge est un cercle vert..."
Bravo, c’est plutôt fulgurant comme analyse !
« ceux qui méprisent la psychologie comme une non-science me font bien rire ! La démocratie de marché repose à peu près exclusivement sur le contrôle psychologique des masses »
Certes, mais ça reste des bidouillages de "sciences molles".
« Libre à vous de continuer à croire que la psychologie est moins pertinente et efficace que l’économie et les mathématiques...En réalité, le système capitaliste est entièrement basée sur la psychologie pas sur les mathématiques. Tout repose sur la confiance et la croyance, et la science psychologique des élites est tellement puissante qu’ils arrivent à faire croire qu’un carré rouge est un cercle vert »
Il y a toujours un fossé entre les connaissances de pointe (militaire) et civile (en l’occurrence le milieu médical), et dans le cas de la psychologie ces dernières sont loin de constituer une science, et son importance est généralement surestimé. Pour étayer mon propos avec un exemple, un psychologue n’a que peu de pouvoir sur une maladie, et n’importe quelle personne sans connaissances particulières pourrait exercer ce métier avec un peu près le même résultat. Ce n’est pas le cas de la médecine. La psychiatrie n’a d’ailleurs d’intérêt que dans son approche purement médicale, mais là encore, les connaissances du médecin de base sont loi d’être pertinentes, mais c’est un autre problème.......
Pour finir, je doute fortement que la psychologie résiste au temps (tout comme l’économie d’ailleurs), contrairement aux maths, à la physique, la chimie, etc.
@ Grindsel tirédunevie
Les mathématiques sont les seules sciences dures. La physique-chimie et la biologie sont comme la psychologie, elles reposent sur des spéculations, des hypothèses et des expériences. Vous faites référence au manque de résultat de la psychologie, mais ils existent bel et bien, certes non pour guérir des maladies, mais pour en provoquer peut-être ?
Je pense aux techniques de manipulation mentale, aux sectes, aux religions, aux stratégies de guerre psychologique, à la propagande, à la publicité...La psychologie est un instrument de contrôle.
Mais...je dois avouer que vous avez raison sur un point.La micro-biologie, les neurosciences sont les prochains outils de manipulation des masses, et à terme il est possible effectivement que la psychologie devienne inutile.
Mais tous les cas, à l’heure d’aujourd’hui il faut rester prudent quand on parle de "véritable science " même avec les neuro-sciences, l’astronomie, l’astrophysique ect...Entre ce qu’on voudrait prouver et ce que l’on prouve, il y a tout un monde...
Je pense que la psychologie va progresser (je ne mets pas le freudisme et toute cette merde dedans), je crois qu’à terme, pure spéculation de ma part, on va commencer à mieux coordonner "neuro-sciences, biologie, sociologie, psychologie", je l’espère du moins si on veut espérer un jour créer de l’intelligence artificielle.
Vous me parliez de la médecine. Je crois qu’il serait désuet de compter le nombre d’années où ce qui fût appelé science et médecine n’était en réalité que croyance et empoisonnement.
Bref, soyons clairs, nous n’aimons pas les psys...mais ne nous fermons pas à des hypothèses d’étude et de recherche.
Ce serait bien de préciser votre pensée lorsque vous faites un article. Je n’ai pas compris ce qui vous a choqué.
Pédopsychiatre ? Plutôt pédé et psychiatre.
Un peu hors sujet mais j’ai un truc qui me taraude. Je n’ai jamais compris la notion de viol entre deux époux ! Je comprends bien et admets volontiers qu’un homme puisse obtenir de sa femme par des moyens coercitifs des rapports sexuels non désirées par cette dernière. Toutefois peut-on mettre ça sur un pied d’égalité avec le viol ? Entre un homme et son épouse il existe une intimité physique préalable faisant que si un rapport sexuel est non consenti il n’atteint toutefois pas la gravité d’un rapport forcé par un inconnu ou tout autre personne avec qui l’intimité sexuel n’est pas légitime ou habituelle. Je souviens de cette affaire, au USA bien évidemment, où un homme fut condamné à de la prison ferme pour viol parce qu’il avait des rapports sexuels avec sa femme pendant le sommeil de cette dernière. La femme un jour se réveilla pendant l’acte et son mari lui avoua que ce n’était pas la première fois. Elle le poursuivit en justice et l’époux fut condamné à de la prison. Peut être que baiser sa femme pendant qu’elle dort n’est pas sympa mais de là à faire de la prison pour cela ?! Le mec n’est pas un inconnu ! C’est le mari ! Ceci semble avoir pour objectif évident de désacraliser le rapport privilégié qu’il existe entre un homme et une femme mariés.
Je comprends ce que tu veux dire il semble certain que l’impact traumatique d’un viol subi dans un parking avec un parfait inconnu - donc se retrouver d’un seul coup en situation de guerre, ne sachant si on va en sortir vivant - n’est pas le même type d’impact que le viol entre époux, sauf s’il y a coercition avec coups - car celle-ci peut être aussi purement psychologique - mais ça reste de la guerre lasse et non subite avec le choc extrême qu’on imagine.
Néanmoins, obtenir des rapports avec sa femme par la coercition n’en reste pas moins une humiliation et une violence inacceptables, condamnables, d’ailleurs il y a des êtres qu’on appelle les prostituées qu’on paie pour les "forcer". Mais, il faut payer alors ce n’est sans doute pas la même situation jouissive de domination totale. Voilà pourquoi quoi qu’on en dise, que la prostitution existe ou non, il y aura toujours autant de viols.
« C’est pourquoi également le sens de la réalité, quoi qu’on ait dit, est beaucoup moins développé chez les femmes que chez les hommes. La connaissance est toujours ordonnée chez elles à un but étranger, et lorsqu’elle vise intensément ce but, elles peuvent même voir très juste et très profond, mais la valeur de la vérité leur est inconnue. Ainsi, lorsque ses désirs (bien souvent inconscients) sont déçus, la femme perd-elle tout sens critique et tout contrôle sur la réalité. C’est ce qui fait que les femmes s’imaginent si souvent avoir été victimes d’agressions sexuelles, ou encore la fréquence chez elles des hallucinations du toucher, dont l’homme soupçonne à peine la force : l’imagination de la femme est erreur et mensonge, seule celle de l’homme (dans l’art ou la philosophie) peut être vérité supérieure. »
Otto Weininger, Sexe et Caractère, chap. IX « PSYCHOLOGIE MASCULINE ET PSYCHOLOGIE FÉMININE »
Édité chez Contre Culture
Alors, toujours de troisième zone ?
Oui, toujours. Le propos de Weiniger est général et concerne les femmes, pas forcément les petites filles. Le pédopsychiatre répond au téléphone à propos d’un cas particulier d’une femme qui dit avoir été victime de viol étant enfant et il se permet d’affirmer qu’elle ment sûrement sur la seule foi de sa conviction personnelle ? Sans même l’avoir entendue ? Le viol d’enfants n’existe pas selon lui ? Ou peut-être qu’il préfère qu’on n’inquiète pas les violeurs ?
Je pense qu’il faut lire Weininger avec bienveillance sans quitter les principes d’éthique, de morale et de recherche du vrai sur lesquels il voulait faire reposer ses analyses, et sans oublier qu’il s’appuyait sur les théories de Freud, dont il a cherché vainement la reconnaissance, et sur d’autres aussi discutables de l’époque, c’est à dire avec les connaissances dont il disposait sur le monde et sur lui-même.
Ces principes lui faisaient écrire : « On peut parfaitement bien vouloir l’égalité juridique de l’homme et de la femme sans pour autant croire entre eux à une égalité morale et intellectuelle. Bien plus, il n’y a aucune contradiction à réprouver toute barbarie dans le comportement d’un sexe vis-à-vis de l’autre tout en étant frappé par l’opposition radicale, cosmique, par la différence essentielle, qu’il y a entre les deux.
_ » (chapitre XII, 2ème paragraphe).
Son éthique l’aurait donc amené à défendre le droit de la fille à déposer plainte et à ne pas être entravée, d’autant que maintenant elle risque d’être encore plus forclos avec les tergiversations de l’expert Rufo. Réprouvant toute forme de barbarie Wieninger aurait défendu son droit à ne pas être privée de liberté arbitrairement ni droguée sauce labo, et n’aurait pas admis que la psychiatrie enferme et drogue la moitié de la population en se basant sur une œuvre de jeunesse qu’il n’a pas eu hélas le temps de parfaire ou d’amender pour cause de « suicide » mais où il témoigne de son attachement à l’égalité devant la loi, ce qui est tout à son honneur vu ce qu’il pense du principe féminin. Weininger n’était pas pour les harems, ni les harems asilaires.
Donc 3ème, voire 4ème zone, oui. Car Rufo répond aux demandes de la mère interneuse pour la conforter et lui faire plaisir, sans soucis de préserver le tiers exposé à la barbarie, c’est à dire sans éthique. Fion de hamster et confraternité obligent.
Quelques remous tout de même suite aux propos tenus par Mr Ruffo sur le blog du journaliste d’investigation Jacques Thomet :
"Pédocriminalité : docteur Marcel Rufo, si vous aviez subi enfant l’inceste ou le viol, vous ne prononceriez pas de telles horreurs"
Une pétition adressée à François Hollande par le CRIFIP (Centre de Recherches Internationales et de Formation sur l’Inceste et la Pédocriminalité) est en cours.