On apprend ce matin par RTL qu’un professeur de 28 ans exerçant dans le 11e arrondissement de Paris a été placé derrière les barreaux pour détention de fichiers pédopornographiques.
Hier, on apprenait qu’un instituteur qui avait fait des avances sur Internet à ce qu’il croyait être une fillette a été relaxé de corruption de mineur et uniquement condamné pour possession d’images pédopornographiques.
Mi-janvier, c’était à Escautpont, dans le Nord, qu’un instituteur était mis en examen pour agressions sexuelles sur mineures.
Fin janvier, la cour d’assises du Territoire de Belfort jugeait le cas d’un professeur de musique accusé de viol sur un garçon âgé de 14 ans, tandis que dans les Deux-Sèvres, le tribunal correctionnel jugeait les " invitations " sexuelles envoyées par un enseignant.
Début janvier, à Longué-Jumelles, dans le Maine-et-Loire, un professeur de collège était arrêté pour le viol d’une élève.
Fin décembre, on découvrait qu’un autre enseignant était jugé pour diffusion d’images pédopornographiques dans la région de Douai.
Début décembre, à Kerguénec, en Loire-Atlantique, une enquête ouverte au départ pour agression sexuelle par un enseignant a révélé que celui-ci détenait plusieurs milliers de photos pornographiques d’adolescents.
Alors que les affaires se multiplient et sont le plus souvent étouffées par le ministère de l’Éducation nationale, on ne peut que s’interroger du silence des médias nationaux.