Le 23 avril 2010, le premier minsitre grec se résignait à demander l’aide financière de l’UE et du FMI. Un an plus tard, le premier maillon faible de la zone euro a réduit son déficit mais est loin d’être tiré d’affaire. Bilan.
Il y a un an, le premier ministre Georges Papandréou se rendait la tête basse à l’île de Kastelorizo pour reconnaître que la Grèce était incapable de se financer sur les marchés et pour appeler solennellement au secours ses partenaires européens. Le 2 mai, la zone euro et le FMI débloquaient un prêt de 110 milliards d’eurosdans le cadre du tout nouveau fonds de secours . En échange, le pays s’est lancé dans une politique d’austérité drastique pour rendre son économie plus compétitive. Ou en est-on un an plus tard ?
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