Le nouveau délire de Véran "Une injection = une infection" (Mais tu dois quand même avoir minimum une injection) confirme qu'on est totalement sorti de la médecine.
Il faut ABSOLUMENT avoir ce produit dans tes veines.
Pourquoi ?
Comment veux tu ne pas être complotiste après ça ?— AuBonTouiteFrançais (@VictorSinclair3) February 3, 2022
Le ministre du Big Pharma Olivier Véran a été reçu pour faire la propagande des faux vaccins – inutiles et dangereux – et tenter d’expliquer l’inexplicable (une répression sanitaire et sociale pour un virus bénin) chez Maxime Zwitek sur BFM TV le 2 février 2022. Son camion de mensonges s’est embourbé, mais il en a profité, histoire de se couvrir, pour balancer le responsable de toute cette opération d’enfumage, le Pr Fischer.
[#SudRadio]@andrebercoff en grande discussion avec Olivier #Véran
"Donc si je comprends bien, 1 injection = 1 infection...donc 4x3=12... Là, on a tout compris. Vraiment tout Mr Véran” pic.twitter.com/L85S5RHsvA
— Sud Radio (@SudRadio) February 3, 2022
Concrètement, et clairement ? Le gouvernement cède devant les double vaccinés qui ne veulent pas d’une troisième dose, et ils sont la majorité. En gros, on vous accorde le pass vaccinal même si vous n’avez que 2 doses et mais pour ça il vous faut une infection à Omicron. Et c’est le cas, puisque par bonheur, 500 000 Français de plus se retrouvent positifs chaque jour. Le moyen de contourner la tyrannie vaccinale.
Le fond du problème, c’est que Véran relaye le Pr Fischer, qui est issu de la rothschildophère. Et ce n’est pas du complotisme ! À vous de vous faire une idée de la crédibilité de leur parole dans ce salmigondis qui n’a plus rien à voir avec la médecine, ni même avec l’intelligence, et encore moins avec le respect du public :
Olivier Véran annonce qu'une infection équivaudra désormais à une injection pour obtenir le pass vaccinal, à condition d'avoir reçu au moins une dose de vaccin pic.twitter.com/dJbLSfJgY0
— BFMTV (@BFMTV) February 2, 2022
Les responsables de la santé pataugent dans la choucroute, mais leur propre choucroute. Et il y a encore des gens qui gobent cette propagande ? Le fait est que la propagande politique classique bousillait un peu l’entendement. En y adhérant, on ne comprenait pas grand-chose à la politique et encore moins à la politique profonde, ce qui était le but de la manœuvre.
Aujourd’hui, la propagande est nettement plus dangereuse car elle s’attaque non seulement à l’entendement, cette immunité mentale, mais aussi à l’immunité physique de ses victimes.
3) D’ailleurs, pour #Delfraissy, ces injections répétées pourraient bien déclencher des maladies auto-immunes, on ne sait pas trop, « on n’a jamais fait ça ». ⬇️ [3/4] pic.twitter.com/chLfOLM8sm
— Barbara Stiegler (@B_Stiegler) February 4, 2022
Tout l’édifice officiel est en train de s’effondrer sous nos yeux, et il faut être aveugle, ou vaccinolâtre convaincu, pour ne pas le voir. Les Français doublement et triplement vaccinés vont-ils se réveiller ? Ou faut-il une charge plus forte encore, comme la promesse d’un VIH plus virulent ? Car c’est ce que la tyrannie covidiste nous prépare, objectivement :
-Paxlovid/Covid:molécule utilisée contre le vih
-Pr Montagnier:ce virus artificiel contient des séquences du vih
-Ameli:dépistage vih gratuit
-Merdias:découverte d’un nv variant agressif du vih
-Merdias:les routiers étaient à l’origine de la propagation du vih(convoi liberté)— Aurelie (@AurelieM0813) February 6, 2022
Le projet, au-delà de la société de surveillance médico-numérique qui se met en place, c’est l’abaissement de l’immunité naturelle de la population pour lui vendre de l’immunité artificielle à vie. Car l’immunité, notre trésor le plus intime, le plus vital (par définition !), est devenu un marché monstrueusement lucratif pour Eux. Ils ont mis la main dessus, en roulant les naïfs dans la farine (celle des discours contradictoires et de la psychose permanente), et ils ne vont pas la lâcher.
Et tant pis pour les « positifs » qui ne supporteront pas ce passage dans la nouvelle e-civilisation, ou décivilisation. Effectivement, de ce point de vue, il y aura des morts.
L’échange surréaliste
Véran : Ce que l’on veut, et c’est ce que nous disent les scientifiques et c’est ce que dit le professeur Fischer pour le Comité d’orientation de la stratégie vaccinale, c’est qu’au fond, pour bénéficier du pass il faut que notre système immunitaire ait été stimulé trois fois, au moins trois fois. Une stimulation ça peut être : une injection de vaccin ou ça peut-être une infection. Et qu’au minimum, il faut avoir reçu au moins une dose de vaccin pour renforcer l’immunité. Qu’est-ce que ça veut dire ? Et là, c’est là que ça se simplifie. Si vous avez eu une injection et deux infections, des épisodes infectieux, ça arrive. Vous avez eu deux injections et une infection, que cette infection soit avant les injections, au milieu ou après ou si vous avez eu trois injections de vaccin, vous conserverez le bénéfice de votre pass.
Switek : Sans limite de temps ?
Véran : Sans limite de temps, jusqu’à ce qu’une limite soit fixée si la situation évolue, etc. Mais aujourd’hui, sans limite de temps, d’accord ? Donc, cette règle-là, elle est plus simple.
Switek : Donc, la question de Sabrina n’a plus lieu d’être pour vous ?
Véran : Vous allez voir que si, un petit peu quand même. Si vous n’avez pas eu du tout d’injection de vaccin, même si vous avez eu trois fois une infection, ce qui n’est pas de chance, mais ça peut arriver, là, il vous faut quand même une dose de vaccin. Et en revanche, si vous avez eu une seule dose de vaccin et une seule infection, c’est là que vous avez quatre mois pour avoir votre rappel. Donc retenez ça : une injection égal une infection.
Switek : Mais attendez, c’est la règle que vous nous annoncez ce soir d’une certaine manière ? Il y a un changement de cap, un changement de règles ou une simplification de la règle. Désormais, on va prendre le cas de figure le plus courant, j’ai eu une première dose, une deuxième, puis ces dernières semaines, j’ai eu omicron, ça vaut comme une troisième dose d’une certaine manière ?
Véran : Ça vaut comme une troisième dose.
Switek : Donc j’ai droit au pass vaccinal ?
Véran : Donc pour le pass vaccinal, ce que nous disent les scientifiques à côté de ça, et notamment le professeur Fischer, il est recommandé, chaleureusement recommandé, et vous serez très bien reçu si vous allez en centre ou chez votre médecin ou votre pharmacien d’avoir quand même une troisième dose de vaccin, d’accord ? Mais pour le pass vaccinal, on simplifie avec ce dispositif. Mais si vous avez eu que deux doses de vaccin et même si vous avez eu une infection, il est recommandé, mais pas obligatoire pour bénéficier du pass d’avoir votre troisième injection.