Le concept de "communautarisme" est difficile à définir et son expression revêt plusieurs formes. Il implique un regroupement d’individus sur des caractéristiques qui les différencient des autres citoyens.
Ainsi, il est possible de se regrouper selon son appartenance régionale, ethnique, religieuse, sexuelle ou son orientation sexuelle, ses moeurs, sa couleur de peau ou encore ses loisirs.
S’il convient d’opérer une distinction entre des valeurs telles que la religion, les loisirs (choix) ou la couleur de peau, l’appartenance régionale (héritage), la démarche reste cependant la même : quitter l’ensemble national pour se réfugier dans un ensemble plus petit, plus rassurant et moins abstrait.
Les exemples qui illustrent ces dérives communautaristes sont légion : le conseil représentatif des institutions noires (Cran), le conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), le conseil français du culte musulman (Cfcm), les associations "Lesbiennes, gays, bi et trans" (Lgbt) et "Act-up", SOS Racisme et le mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (Mrap) pour qui le racisme est à sens unique, les divers regroupements de chasseurs, de régionalistes (usant parfois de terrorisme) en sont les représentants plus ou moins adoubés par les médias.
Les organisations comme "Les indigènes de la République" ou "Génération Kemi Seba", sont la matérialisation concrète des dangers du communautarisme poussée dans sa forme extrême...
Obtenir des avantages de la République sur ce qui les sépare des autres citoyens est l’objectif inavouable des militants de toutes ces structures communautaires. Dresser (et défendre ensuite) une chapelle contre le reste de la société et se poser en victime est la stratégie d’à peu près tous ces gadgets communautaires.
Doit-on rappeler à nos représentants politiques que, parfois, un rappel ferme des valeurs de la République, une et indivisible, garante de la justice sociale et de l’égalité entre les citoyens, s’impose pour contrer ce morcellement inexorable de notre société ?
Arezki BAKIR, porte-parole du collectif "Tous Français"
Ainsi, il est possible de se regrouper selon son appartenance régionale, ethnique, religieuse, sexuelle ou son orientation sexuelle, ses moeurs, sa couleur de peau ou encore ses loisirs.
S’il convient d’opérer une distinction entre des valeurs telles que la religion, les loisirs (choix) ou la couleur de peau, l’appartenance régionale (héritage), la démarche reste cependant la même : quitter l’ensemble national pour se réfugier dans un ensemble plus petit, plus rassurant et moins abstrait.
Les exemples qui illustrent ces dérives communautaristes sont légion : le conseil représentatif des institutions noires (Cran), le conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), le conseil français du culte musulman (Cfcm), les associations "Lesbiennes, gays, bi et trans" (Lgbt) et "Act-up", SOS Racisme et le mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (Mrap) pour qui le racisme est à sens unique, les divers regroupements de chasseurs, de régionalistes (usant parfois de terrorisme) en sont les représentants plus ou moins adoubés par les médias.
Les organisations comme "Les indigènes de la République" ou "Génération Kemi Seba", sont la matérialisation concrète des dangers du communautarisme poussée dans sa forme extrême...
Obtenir des avantages de la République sur ce qui les sépare des autres citoyens est l’objectif inavouable des militants de toutes ces structures communautaires. Dresser (et défendre ensuite) une chapelle contre le reste de la société et se poser en victime est la stratégie d’à peu près tous ces gadgets communautaires.
Doit-on rappeler à nos représentants politiques que, parfois, un rappel ferme des valeurs de la République, une et indivisible, garante de la justice sociale et de l’égalité entre les citoyens, s’impose pour contrer ce morcellement inexorable de notre société ?
Arezki BAKIR, porte-parole du collectif "Tous Français"