"Les César, ça sent la poussière [...] C'est d'une tristesse épouvantable"
Miou-Miou considérait déjà la cérémonie comme désuète deux ans après ses débuts #cesars2020 pic.twitter.com/dQZU7fUw0P— Ina.fr (@Inafr_officiel) February 29, 2020
« C’est un monument, c’est extraordinaire. Ça sent la poussière alors que ça devrait être la fête de l’imagination, de l’art… »
Voilà, tout est dit. Il s’agit d’une cérémonie bourgeoise, chiante, convenue, où le talent est remplacé par la provocation, où le désir de pseudo-démocratie et de représentation des minorités se heurte à la méritocratie, celle que le public plébiscite. Le grand public, pas le public des César, cette autocélébration consanguine. Les César et le monde du cinéma sont vraiment à l’image de la France d’aujourd’hui : déchirée et abrutie par les injonctions progressistes.
Toute l’interview de Miou-Miou :