« Si quelqu’un au sein de son administration empêche Emmanuel Macron d’appliquer sa politique, il doit taper dessus ou remplacer cette personne. » (Vladimir Poutine lors d’une session du Club de Valdaï qui se tenait à Sotchi en octobre 2019)
« L’avenir n’appartient pas aux mondialistes, il appartient aux patriotes. » (Donald Trump à l’Assemblée générale des Nations unies à New York le 24 septembre 2019)
Message à l’attention d’Emmanuel Macron, huitième et plus jeune président de la Ve République française : il est possible de vivre et de réussir sans l’État profond !
Les journalistes conséquents le savent, l’État profond en France est une réalité et la pesanteur de ses agents au sein des différentes instances des hautes administrations nationales est telle qu’elle influe sur des secteurs fondamentaux comme la sécurité intérieure, la politique économique et les relations internationales.
N’en déplaise aux contempteurs primaires, l’actuel président de la République a dénoncé cette pression à plusieurs reprises :
« L’État profond n’a pas assez changé. » (31 janvier 2019, en pleine crise Benalla-Gilets jaunes)
« La visite de Vladimir Poutine à Bregançon suscite l’opposition des États profonds de part et d’autre, à Paris comme à Moscou. » (août 2019)
« La rédaction des communiqués ne sont que des chicayas de bureaucrates et d’États profonds. Je ne veux pas être l’otage de gens qui négocient pour moi. » (août 2019, à l’issue du G7 qui s’est tenu à Biarritz)
Que ce soit au plan sanitaire ou au plan social, les deux, voire les sept prochaines années s’annoncent comme une suite incandescente de gestions de crise pour le gouvernement. Un président pris en otage par les apparatchiks d’un État profond prêt à le sacrifier ne pourra pas inverser la tendance. Et la pression ne va faire que s’accentuer.
Les choses sont claires : soit Emmanuel Macron renverse enfin la table et se sépare de l’État profond communautaire qui le mène à sa perte, soit il finira lynché par l’Histoire.
Le moment est venu d’assumer la fonction et de prendre conscience que :
l’État profond oligarchique ira jusqu’au bout et ne considèrera jamais l’un de ses serviteurs comme un égal ;
il est possible de réussir pleinement sans cet État profond.
« Je rejoins ce que le président Trump a pu dire ce matin sur le mondialisme qui oublie les peuples. » (Emmanuel Macron à l’Assemblée générale des Nations unies à New York le 24 septembre 2019)
Alors maintenant, Président, il faut impérativement couper les têtes de l’hydre, c’est-à-dire purger vos équipes et nommer les personnes compétentes : il y en a.
Le président Trump est un modèle emblématique de cette démarche qui réussit. La relation entre le président français et le président américain ne demande d’ailleurs qu’à se renforcer.
Que le Président et ses équipes réfléchissent sérieusement à ce message lancé par Égalité & Réconciliation tant qu’il en est encore temps.