Les archives de la RTS (Radio Télévision suisse) regorgent de trésors. Aujourd’hui, on exhume l’interview en 1969 d’une centenaire qui n’aime pas les jupes trop courtes.
Mamie Parchet a raison : par exemple, nous aussi on trouve que Cindarella a choisi une robe un peu courte.

La question est : a-t-elle fait exprès pour attirer les garçons, torturer les célibataires et rendre dingues les incels, ou s’est-elle gourée de taille, vu qu’elle est blonde ?
Ne vous cassez pas la tête : on ne pourra jamais savoir car les femmes sont les reines de la dissimulation. Comme les oignons, elles ont des vérités successives. Devant la brutalité naturelle des hommes, elles ont appris à nous enfumer et à nous manipuler. Faut dire qu’un mec, c’est lourd, comme disait Céline.
En farfouillant dans la vieille malle de la RTS planquée dans le grenier de la mémoire suisse, on est tombés sur un truc vraiment très spécial, qui a dû se faire beaucoup dans le temps, mais dont on ne parle pas... Amis des animaux de compagnie, accrochez vos ceintures.
Et après on va accuser le Chinois fourbe du coin... Cependant, à l’époque, il y a soixante ans, il n’y avait pas de Chinois en Suisse. L’immigration était rare, ou alors au compte-goutte. Maintenant, l’Europe est un gruyère que tout le monde viole allègrement. Violer un gruyère, il faut avoir faim.
Excellente transition pour parler de Yaël, qui a encore fait des siennes. Vous savez que les Français sont surtaxés par l’oligarchie, environ 46 % de ce qu’on gagne sur la feuille de paye part dans les mains de l’État, qui redistribue généreusement aux grandes entreprises, aux migrants et à Brigitte & Manu, plus toute la valetaille politico-médiatique (deux milliards chaque année à la presse pourrie en faillite).
Comme le prisonnier des Macron, Lecornu, doit trouver trente milliards rapidement, avant que la note de la France (en fait la note de nos dirigeants corrompus, menteurs et voleurs) ne s’effondre encore un peu plus pour tomber à B, Yaël a eu l’idée de taxer encore plus les héritiers. Et quand on parle d’héritiers, on ne parle pas des enfants Pinault ou Arnault (Arpinault ?), mais bien de papi et mamie qui refilent leur vieille baraque à leurs enfants, soit un petit patrimoine et trois éconocroques bouffées par les mites de l’inflation galopante à deux chiffres, malgré les mensonges de l’INSEE.
Vu que madame @YaelBRAUNPIVET considère que l’héritage (qui tombe du ciel) est malsain, j’imagine qu’elle fera don de ses actions et de son domicile au Vésinet, à la France et aux français qui l’ont très grassement entretenu.
Actions : auxquelles il convient de rajouter quelques… pic.twitter.com/rssUAB3Fb6
— Alain Weber (@alainpaulweber) October 16, 2025
Les GéGé ont fait une émission sur ce sujet toutchi (touchy) :
Yaya s’est pris un juste shit storm dans la poire, c’est vrai qu’elle aurait dû la boucler, la cogénocidaire. En plus, à l’instar de Didier-les antivax sont des cons-Bourdon, son fils bosse chez l’ennemi… On dira que ça fait mauvais genre en période pré-insurrectionnelle.
Le fils de #BraunPivet, embauché chez #McKinsey dès sa fin d'étude, c'est quel niveau "d'héritage" ?
Cette caste politique immonde, vivant en parasites dans l'entresoi et qui veut taxer le travail d'une vie (déjà taxé), mais #Afuera !!!! https://t.co/xnT1CQz8Nm— LiLY DUFRET #Charlie#Paty#Mila#Iraniennes#Liberté (@LiBERTE_LiLY_2) October 16, 2025
Oui mais Yaya a eu le cancer du sein, crient les féministes. Certes, mais elle a guéri, et ça nous ramène sur cette note étrange qui concerne le sida : Le Figaro, qui a défendu mordicus la meurtrière politique sanitaire depuis 2020, avec la fameuse Cécile (Thibert) de douze piges qui donnait des leçons de sciences au Pr Raoult, nous sort un truc qui fait penser rétroactivement à une gigantesque arnaque.

Alors que Paris accueille cette semaine la 20e Conférence européenne sur le sida, les progrès thérapeutiques font naître de grands espoirs, mais la baisse des financements internationaux menace cet objectif historique.
À l’occasion de la 20e Conférence européenne sur le sida, qui se tient du 15 au 18 octobre à Paris, l’objectif fixé par l’ONU d’éliminer l’épidémie de VIH d’ici 2030 a été remis au centre des discussions. Pour le professeur Yazdan Yazdanpanah, chef de service des maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital Bichat, et directeur de l’ANRS – Maladies infectieuses émergentes (ANRS-MIE), il faut d’abord clarifier l’ambition de 2030 : « On ne parle pas d’éradiquer le virus lui-même. Il y a quarante millions de personnes vivant avec le VIH, mais d’éradiquer sa transmission. »
Yazdan, pour ceux qui ne nous lisaient pas en 2021-2022, c’est ce vaccinateur fou qui était « d’accord avec des mesures assez fortes pour les personnels » réfractaires à l’injection. Autant dire un ami de l’humanité. Et ce type, d’une crédibilité aujourd’hui égale à zéro, nous parle d’un vaccin contre le sida, l’ancêtre du covid, d’un point de vue ingénierie...
En 2022, il répondait masqué aux question de Sotto, qui signifie sot en italien. Super crédible sur le covid (cinquante millions de Français sauvés d’une mort certaine grâce à Pfizer), il est donc archi crédible sur le sida, cette maladie chelou pour laquelle cinquante ans de recherches coûteuses n’ont toujours pas donné de résultat, et encore moins de vaccin. Coûteuses pour les États, donc pour les contribuables, rappelez-vous des 71 milliards refilés à Pfizer par l’UE de Leyen… Des « maladies » pas perdues pour tout le monde. En fait, ce sont des maladies du néolibéralisme en recherche de nouveaux marchés (la baisse tendancielle du taux de profit, relire Karl), devenues des maladies de société.
Et mamie Parchet, là-dedans ? On est heureux pour elle qu’elle n’ait pas vécu ces années de saloperies oligarchiques (elle aurait eu dans les 155 ans aujourd’hui), déjà qu’elle tiquait sur la mini-jupe, le capitalisme du désir, tout ça, alors imaginez si des Yazdanpanah l’avaient obligée à se vacciner, à 102 ans... Elle n’aurait pas tenu une semaine, ils nous l’auraient achevée !
Finalement, mourir naturellement a du bon, quand on est dépassé par le présent.