Dans les années 60, la France était encore relativement puissante et indépendante. D’ailleurs, la puissance va avec l’indépendance. En un demi-siècle seulement, ce qui est peu dans la vie d’une nation millénaire, notre pays a été divisé, affaibli et soumis à des forces à la fois endogènes et exogènes. Pour parler plus clairement, les réseaux de pouvoir occultes ont tourné la démocratie à leur avantage, et des puissances économico-politiques ont arrimé la France à leur sillage. La vision la plus lucide de la situation, et de son évolution d’hier à aujourd’hui, est chez Soral, c’est indéniable, et tous les gens intelligents viennent boire – ou cracher – à cette source incontournable.
Ce 12 juillet 2021, le président élu par une série d’ingénieries sociales élaborées par les forces occultes a voulu définitivement briser l’échine de la nation, qui résiste à sa volonté de désordre et de fracturation.
Car malgré toutes les injections de désordre social, ethnique, économique, dans le corps du pays, un noyau typiquement français encaisse, résiste, refuse, répond.
Les Gilets jaunes en 2018-2019 et les « antivax » en 2020-2021 sont une réponse à la violence oligarchique par des corps qui se sont constitués sous une pression prédatrice grandissante.
Sociologiquement, le Gilet jaune est ce Français périphérique frappé par la baisse des salaires et la disparition du travail industriel. L’antivax est ce Français qui s’informe en dehors des médias mainstream pour se forger une nouvelle grille politique.
Ces deux blocs, qui subissent une répression physique et médiatique du pouvoir visible, forment la résistance au nouvel ordre macronien, le Président n’étant que l’employé des Rothschild, celui qui doit faire illusion démocratique.
Aujourd’hui, cette illusion a volé en éclat : la Bête est là, devant nous.
Sachant cela, et la majorité des lecteurs d’E&R le savent, ce qui constitue déjà une sacrée avancée de conscience sur le reste de la nation, que faire ?
D’abord, comprendre que nous sommes en guerre, et que nous sommes attaqués. Et ce depuis longtemps.
Comprendre que l’ennemi est parmi nous, il parle français, il apparaît chaque jour dans les médias, il se dissimule, il entre dans la tête des gens, il les parasite.
Extirper cet ennemi mental demande de la lucidité, de l’information, de la catégorisation, de la logique, c’est pourquoi la guerre de l’information est capitale et décidera de l’issue de ce combat politique.
C’est aussi pourquoi le pouvoir visible (de plus en plus décrié), sur injonction du pouvoir invisible (de plus en plus visible), devient de plus en plus brutal avec ceux qui sortent de la ligne de pensée officielle.
Face à ce déchaînement de mensonge, de propagande, de violence et de ruse, beaucoup de Français sont tentés d’abandonner le combat, de cesser toute résistance, de laisser le champ libre à l’ennemi, voire de collaborer.
Quand on vit pour le confort, qu’on place la paix au-dessus de tout, cette tentation est légitime, mais égoïste, et perdante. Car si chacun cède, tous céderont. Si chacun résiste, un tant soit peu, la nation sera impossible à briser.
Les Français qui seraient tentés de baisser les bras, c’est-à-dire de le donner au Big Pharma pour une piqûre de soumission, doivent savoir que rien n’est écrit et que les ingénieries sociales qui nient l’humain finissent toujours dans les poubelles ou les fosses de l’histoire.
Que ce qu’il leur tombe dessus depuis 50 ans n’est pas le fruit du hasard mais d’une attaque délibérée, préparée, élaborée par une organisation antidémocratique qui travaille contre le peuple, organisation qui a réussi à mettre la main sur l’État pour son unique intérêt.
Face à cette réalité complexe, il faut d’abord se dessiller les yeux, admettre une série de vérités dérangeantes (elles sont solidaires les unes des autres, quand on en tient une, tout vient avec), et garder foi en l’avenir : car celui qui combat toujours ne perd jamais.
Le Système montre aujourd’hui son vrai visage, hideux, anti-humaniste, violent, c’est le moment d’employer les moyens de résistance (passive bien sûr) qui ont prouvé leur efficacité. Le Christ fut le premier à montrer la voie...
Sans armes et sans argent, il reste l’essentiel, le mental, la foi, qu’elle soit révolutionnaire ou religieuse.
La foi se nourrit de son adversité. Elle va donc monter, inexorablement, ces prochains temps, qui risquent d’être « bibliques ».
Vous allez voir, mariée avec le danger, elle ne fera que grandir.