Avant de vous passer des extraits de l’interview de l’étudiant « Printemps républicain » plongé par mégarde dans un bain antifa de la tête aux pieds, on a retrouvé une vidéo de l’impayable Nathalie Dompnier, la présidente inclusive de l’université Lyon 2. Nathalie résume à elle seule 50 ans de masochisme idéologique. Il y a deux ans, elle avait autorisé du haut de son autorité fulgurante et de son antiracisme poignant 40 migrants à occuper un grand amphi de sa fac au détriment des cours des étudiants dont elle a la charge. Un symbole, une synthèse, un sommet !
Le suicide définitif du gauchisme éducatif
On a retrouvé un colloque atroce « animé » par Nathalie sur les conflits d’intérêts, ce qui tombe bien. La vidéo est de mauvaise qualité, comme la fac qui préfère plomber ses étudiants et les orienter idéologiquement vers l’abîme que de passer pour dangereusement raciste.
« Et puis troisième aspect, troisième point de cette plateforme éthique, une démarche recherche-action en faveur d’une éthique dite embarquée d’une intermédiation de ces enjeux dans les projets de recherche... »
Un conseil aux antifas et autres gauchistes qui sèment le désordre à l’université Dompnier avec les encouragements de la présidente : on en reparlera dans deux ou trois ans quand vous serez collés avec votre bac+5 douteux à la friteuse du Macdo de Bron !
Le site pour étudiants brolife.fr a publié un article intitulé « Tu ne devineras jamais l’ambiance qui se cache au sein de l’université Lumière-Lyon-2 ».
Partir à Lyon ? Le problème, c’est que je ne connais pas cette ville. Mais j’ai justement prévu d’y aller durant mes prochaines vacances car après Toulouse et Bordeaux, Lyon sera la troisième ville où je me rendrai pour vous dire si elle en vaut la peine. Cependant, j’ai trouvé des témoignages très intéressants concernant une fac en particulier : L’Université Lumière-Lyon 2.
Dans un topic du site jeuxvidéo.com, un utilisateur a décrit son quotidien au sein de cette université et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il est loin de vendre du rêve ! Alors je sais, souvent on dit que les membres de ce forum aiment bien lancer des braises mais dans ce cas précis, beaucoup de témoignages se rejoignent. Et ça ne peut pas être un hasard. Ainsi, allons voir ce que cache cette université de plus près.
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- La fac poubelle(s)
Un master Étude de genre
À l’université Lyon 2, on étudie principalement les sciences humaines et les lettres. Cependant, la principale démarcation de cette fac se tient dans sa visée politique. En effet, la plupart des étudiants (surtout les étudiantes) ont une idéologie très « extrême-gauche », un sorte de socialisme poussée à l’extrême à tel point que l’on pourrait croire à une parodie. Au sein de cette fac, beaucoup d’associations vegan, pro-LGBT et féministe cohabitent.
Les étudiants en tant que tel possèdent une vision de la vie très limitée. Il peut s’agir de communistes qui ont à peine 18 ans et qui ont jamais travaillé de leur vie. Ces mêmes personnes qui vont t’apprendre ce qu’est la lutte des classes. Leur mentalité est simple : « Tout le monde est beau, gentil ». Ils ont tous la même pensée, ce qui complique les débats puisque tu as l’impression d’entendre des arguments formatés par la fac.
Tenir les portes aux femmes, c’est considéré comme une agression
Les filles sont pires que les mecs. De ce qu’on apprend : Si tu tiens la porte à une fille par gentillesse, elle te regardera avec un certain mépris. Les discussions entre filles se résument à des sujets tels que le veganisme, la sexualité et les politiques d’extrême-gauche. Sans oublier le féminisme et bien sûr les anecdotes de soirée, sinon ce n’est pas drôle. Leur idéologie est telle que si tu discutes avec une fille lors d’une soirée en vue de passer un moment plus intime avec elle, deux configurations existent :
Soit tu as les mêmes idées tordues qu’elle et tu peux donc conclure ;
Ou alors tu as une opinion différente de la sienne, non formatée et une désillusion se construit dans son regard. Bien évidemment, elle te méprisera le reste de la soirée.
Les filles qui sont en fac de psychologie sont les pires selon un autre membre. Elles pensent avoir raison et peu importe ce que tu sors, elles auront raison. Et les profs les soutiennent dans leurs délires.
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Et enfin, les profs. C’est très simple, leur idéologie se transcrit à travers leurs cours. Entre la prof d’anglais qui réalise des cours anti-Trump systématiquement (ce qui formate davantage les étudiants), des profs « clairement communistes et qui orientent à mort leurs cours », le compte est bon.
On peut conclure par ce qu’un membre a dit concernant l’idéologie qui règne au sein de ce campus. « Le gauchisme poussé à son paroxysme ça donne ça, une classe de branleurs qui ressassent sans cesse les mêmes conneries, ils sont d’accord sur tout, se ressemblent tous, répètent les mêmes arguments en boucle toute la journée. C’est encore plus caricatural que les gens l’imaginent. »
Notre analyse pas très inclusive...
Tout ça serait bien sympathique si ces milliers d’étudiants manipulés n’étaient envoyés sur le front social sans armes ni défenses. On sait ici, par expérience, que le gauchisme est un plan du champ de bataille social complètement faux, élaboré par des cyniques qui prennent ainsi facilement le pouvoir sur les jeunes esprits, en utilisant pour cela très habilement leur volonté de vivre dans un monde plus juste et de changer (un peu) les choses.
À l’arrivée rien ne change, bien sûr : les étudiants pauvres embrigadés par les sections gauchistes restent pauvres, et surtout cons, cons comme synonyme d’ignorants. Ils restent pauvres, cons et sans emploi, ou alors avec des emplois minables qui les dévalorisent et qui les rendent frustrés, haineux. Cela crée toute une classe de revanchards sociaux qui ne trouvent plus que la révolution violente pour changer les choses.
Et ça tombe bien, c’est ce que leurs directeurs de pensée leur inculquent ! Mais à une condition : qu’ils ne touchent pas au pouvoir profond, celui de la Banque et des réseaux occultes, et qu’ils tournent leur ressentiment personnel contre les « fascistes », cette catégorie des Français qui justement ne se laissent pas entuber par l’hyperclasse, ou qui lui résistent frontalement. Les gauchistes sont bien l’armée inconsciente, prolétarisée et sous-payée du Capital.
« On s’inscrit pour avoir du Max Weber et on se retrouve avec des amis de Rokaya Diallo »
Un ancien étudiant de licence en sciences politiques dénonce la dérive militante de l’enseignement à Lyon 2, et l’obsession des enseignants pour le genre et la race. Il a fait l’objet de menaces à la suite de ses révélations.
Eliott Savy est un étudiant presque comme les autres, en science politique à l’université Lyon 2. « Presque », parce qu’il est engagé au Printemps républicain, tandis que ses camarades sont le plus souvent membres d’associations pro-migrants ou féministes. C’est pourtant le génie de l’université française : faire étudier ensemble des élèves de tous horizons, réunis par l’universalité des savoirs et de la culture.
Mais au terme de ses années de licence, il a vite déchanté : à Lyon 2, dénonce-t-il, l’idéologie est omniprésente et la faculté n’hésite pas à prendre publiquement position, encourageant ainsi ses étudiants à aller manifester devant la préfecture pour réclamer « l’accompagnement des migrant.es » (sic). Dans un long post sur Twitter, partagé des centaines de fois, il a publié de nombreux exemples de la confusion qui règne bien souvent entre sociologie politique et engagement partisan, dans les cours dispensés dans son université.
Contacté par une journaliste locale, Diane Malosse, l’étudiant témoigne au Progrès de ces dérives. Mais à la suite de la parution de l’article, son nom est tagué sur un arrêt de tram et il reçoit de nombreux messages d’insultes et de menaces : certains cherchent à le dissuader de parler. Le FigaroVox a au contraire décidé de lui laisser la parole.
Vous dénoncez des dérives idéologiques à l’université Lyon 2 : selon vous, certains enseignants utiliseraient la science politique comme prétexte à une tribune militante, sans que la neutralité scientifique soit respectée ?
Le vrai problème, c’est que je suis très mal placé pour le dénoncer. Je n’étais qu’un étudiant en licence de science politique, face à des professeurs qui parlent du haut de leur autorité scientifique. C’est d’ailleurs pour cela que je n’ai rien dit au départ, mais que j’ai envoyé les plans de cours et les lectures conseillées et obligatoires à des amis que je connais dans le milieu universitaire, extérieurs à Lyon 2, qui m’ont aidé à décrypter.
Par exemple, prenons le cours « Sociologie des mobilisations collectives » : quand la première séance, juste après celle consacrée à la méthodologie, s’intitule « les effets de la répression sur les mobilisations et les militants » avec un texte sur la mort de Rémy Fraisse à lire, on se dit que le choix de commencer avec ce thème, immédiatement, sans même avoir défini ce qu’était une mobilisation collective, dénote davantage d’une démarche militante que pédagogique ! La suite du syllabus est évidemment très engagée, et n’est engagée que du côté de l’activisme d’extrême gauche, de « black live matters » à des lectures obligatoires sur l’intersectionnalité, sans que nous n’ayons jamais à étudier un autre point de vue que celui des activistes eux-mêmes. Démarrer la notion de mobilisation sur les violences policières et la répression, cela m’a semblé être un parti pris idéologique.
Même les cours les plus anodins ne sont pas exempts d’une orientation politique. Ainsi, le cours « Politiques de l’union européenne » dont on peut retrouver l’intitulé dans toutes les universités de France commence par « La politique européenne d’immigration », avec une référence à Amphi Z (immeuble occupé illicitement recevant des migrants sur Villeurbanne) et à SOS Méditerranée. À chaque fois, les questions politiques les plus sérieuses ne sont abordées presque qu’au prisme de l’activisme des ONG. Même pour un jeune étudiant de licence, cela peut surprendre.
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- Nathalie ou le sourire radieux de la fac qui remplace ses étudiants par des migrants
La direction de l’université elle-même prend parfois des positions militantes, en faveur des migrants par exemple ?
Non seulement elle en prend, mais en cours les exemples d’associations qui soutiennent parfois clandestinement les migrants sont omniprésents. Le plan du cours sur l’Union européenne que je citais en est une caricature.
Sinon, lors de l’occupation d’un tout nouvel amphithéâtre durant le mois de novembre 2017, l’université a clairement pris position. La présidente, Nathalie Dompnier, a même affirmé publiquement dans un mail envoyé à tous les étudiants qu’elle ne ferait pas évacuer l’amphithéâtre.
Cela va même plus loin, puisque des UFR, comme celle d’Anthropologie, Sociologie et Science Politique, a envoyé un mail, début décembre 2017, qui « salue l’engagement citoyen des étudiant.es mobilisé.es dans l’accompagnement des migrant.es » et qui « appelle à participer » à une manifestation de soutien devant la Préfecture du Rhône.
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