Le lobby transgenre est au carrefour du féminisme 2.0 et du LGBtisme.
A savoir qu’il s’inscrit directement dans l’agenda satanique se cachant derrière le paravent de l’égalitarisme ou de la parité, pour prétendument plus de justice sociale.
Des mouvements féministes des années 1970 avaient choisi Lilith comme symbole de l’indépendance et de l’insoumission à l’homme.
Or Lilith est la figure tutélaire de la rébellion à l’autorité d’Adam, à contrario d’Eve.
Dans la Genèse, Caïn a tué Abel par jalousie (le premier meurtre de l’histoire qui est consubstantiel à la préférence de Dieu pour l’offrande d’Abel).
Dans la Kabbale, c’est pour Lilith (démon) que Caïn a tué Abel par jalousie, ce qui explique que pour les Talmudistes, Salomon n’aurait jamais rencontré et encore moins copulé avec la Reine de Saba, puisque cette dernière abritait l’esprit de Lilith, la tentatrice.
Le Caïnisme et le culte de Lilith reposent donc sur les mêmes fondements, a savoir rébellion contre la figure du père, ici le créateur et plus largement contre les religions.
Le mâle sert ici de Bouc émissaire, concept perpétué par le rituel du Yom Kippour, deux boucs sont tirés au sort, l’un pour Dieu, l’autre pour Azazel, démon du désert (Satan selon certaines interprétations).
Le premier bouc est sacrifié en offrande à Dieu (Agneau d’Abel) tandis que le second est envoyé à la mort dans le désert après que le grand prêtre ait posé ses mains sur sa tête, le rendant responsable de tous les péchés (Lorsque Dieu chasse Caïen de la terre fertile, il le condamne à errer sur la terre en le stigmatisant, littéralement, lui appose une marque).
Azazel, Lilith, Caïen, le triptyque des satanistes.
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