Ces traîtres à la nation proposent tout simplement d’anéantir nos libertés pour « défendre les valeurs démocratiques ». Cela veut dire que les « valeurs démocratiques » sont bien celles de la diablerie mondialiste, qui donne sa ligne aux forces occultes qui ont pénétré et tué notre démocratie. On parlera donc d’antivaleurs.
Nous ajoutons évidemment sur notre liste pour le jour de la libération les noms de ces sénateurs à l’origine de ce qui deviendra peut-être une loi scélérate de plus contre les Français. Ne surtout pas louper la fin de l’article qui met les démocraties en concurrence avec les dictatures pour renforcer le contrôle social... De la haute rhétorique de chacal !
Contrôle des transactions par carte bancaire, portiques à alarme sonore ou encore bracelets électroniques. Un rapport d’information du Sénat étudie des mesures strictes en cas d’éventuelles pandémies, plus graves que le Covid-19, en vue d’assurer la vie économique et sociale.
Le 3 juin, à moins d’une semaine de l’entrée en vigueur de la première phase du déconfinement et de l’allègement de certaines restrictions sanitaires, les sénateurs Véronique Guillotin (Rassemblement démocratique et social européen, RDSE), Christine Lavarde et René-Paul Savary (Les Républicains) ont publié un rapport d’information intitulé « Crises sanitaires et outils numériques : répondre avec efficacité pour retrouver nos libertés ».
Ce document envisage des mesures en cas de pandémies plus graves que celle du Covid-19 et d’autres types de risques dits NRBC, pour nucléaires, radiologiques, biologiques et chimiques.
Le 23 juillet, alors que les manifestations se multipliaient en France contre le pass sanitaire, le sujet a refait surface dans Marianne, avec des éclaircissements de l’un des trois sénateurs.
« Peut-être pourrons-nous demain, grâce au numérique, retrouver nos libertés physiques plus vite, ou même ne jamais les abandonner, et avoir des pandémies sans confinement », signalent les auteurs du rapport, selon lesquels « la crise du Covid-19 n’a donné qu’un avant-goût des multiples cas d’usage possibles ».
Portiques à alarme et bracelets électroniques
Ainsi, la délégation sénatoriale envisage en tant que mesure possible « un portique d’entrée dans le métro qui se mettrait à sonner très fort au passage d’une personne contagieuse ou censée être confinée ».
« Dans les situations de crise les plus extrêmes, les outils numériques pourraient permettre d’exercer un contrôle effectif, exhaustif et en temps réel du respect des restrictions par la population », soutient le rapport.
Parmi ces outils, des bracelets électroniques sont envisagés pour contrôler les déplacements, et des objets connectés pour contrôler l’état de santé. Le média souligne néanmoins que l’idée apparaît en ultime recours dans le texte des sénateurs.
« On a voulu montrer ce qu’on est en mesure de faire avec le numérique, en évaluant le bénéfice risque pour éviter de confiner tout le monde », explique René-Paul Savary à Marianne.
Le contrôle des transactions par carte bancaire pourrait aider à détecter si un commerce poursuit illégalement son activité. Il permettrait « d’imposer une amende automatique, de détecter un achat à caractère médical (pouvant suggérer soit une contamination, soit un acte de contrebande en période de pénurie), ou encore la poursuite illégale d’une activité professionnelle (commerce, etc.) en dépit des restrictions ».
« C’est une méthode qui existe déjà pour la sécurité routière : on identifie le propriétaire du véhicule par sa plaque d’immatriculation pour envoyer directement chez lui la contravention en cas d’excès de vitesse. Pourquoi ce ne serait pas envisageable pour le domaine de la santé ? », détaille le sénateur.
Prendre l’initiative pour défendre les valeurs démocratiques
Les auteurs du rapport reconnaissent cependant que « les immenses perspectives qu’ouvrent les technologies numériques à moyen et long terme dans le cadre de la gestion des crises sanitaires soulèvent en même temps de vertigineuses questions sur les moyens de garantir les libertés individuelles, à commencer par la vie privée ».
Selon eux, « si nous ne nous préparons pas, d’autres le feront à notre place » et « ce n’est certainement pas en laissant les régimes les plus autoritaires prendre une avance décisive » que les « valeurs démocratiques » seront défendues.