L’université française n’avait pas besoin de ça.
On se souvient tous des étudiants gauchistes de Tolbiac, Rennes 1 [1] que les facs sont bloquées à chaque mouvement estudiantin, et qu’on assiste à des scènes type Evergreen. À Rennes-1 (où chaque fac a son campus) je n’ai jamais vu rien de tel.ou Lyon 2, les pires de France, en grève du matin au soir pendant les Nuits debout au printemps 2016, qui avaient réclamé d’avoir plus de 10 à leurs partiels à cause de la mobilisation et du temps « perdu ». Ces médiocres n’ont évidemment rien à faire dans les études supérieures, mais le socialo-sionisme, avec beaucoup de perfidie, les a laissés passer, pour des raisons politiques d’abord (les idiots sont plus faciles à embrigader), mais aussi pour flinguer l’excellence française, qui sentait trop la droite, voire le fascisme. Car la vraie culture est de droite.
La dévalorisation constante des diplômes depuis 50 ans (Mai 68), suite au refus hiérarchique de la sélection au bac, a fait exploser les effectifs étudiants et aujourd’hui, à cause de cette connerie de confinement décidée par un aréopage de néolibéraux à la tête de l’État (qui eux sont passés par les grandes écoles), les branleurs gauchistes vont avoir des notes de réacs, c’est-à-dire des bonnes notes.
La FAC qui envoie des mails pour prévenir que si jamais on fraude aux examens on ira bosser dans les égouts.
Non mais tkt frère je gère.
— Personnage Secondaire (@MiyuRanus) December 21, 2015
C’est la première fois dans leur vie qu’ils seront brillants. Mais cela ne durera pas : la sanction des entreprises (celles qui auront survécu à la grande destruction de valeur de mars-avril 2020) viendra bientôt les réveiller sur le plan social. Nous ne nous réjouissons pas de cet état de fait, mais il n’y a pas grand-chose à faire, le mal est profond, et les médecins sont aussi les porteurs du virus de la chute du niveau...
Il faudra peut-être que tout notre système éducatif s’effondre pour qu’on puisse le reconstruire correctement. D’après nous, le mammouth va s’effondrer sous son poids et générer des petites structures plus légères, plus adaptées, et indépendantes. Nous en reparlerons.
Pour être raccord avec la politique de discrimination positive qui a élevé une Laetitia Avia au rang de député, nous avons choisi d’illustrer l’article du Figaro par un élève de couleur blanche qui copie sur un élève de couleur noire. Cela rappellera la campagne du gouvernement sur les incivilités dans le métro, quand un homme de couleur blanche flanqué d’une mallette agresse un homme de couleur flanqué de rien.
Bienvenue en Ecnarf, la France à l’envers
Nous ne mettons évidemment pas tous les étudiants dans le même sac à patates des branleurs gauchistes. Il y en a qui sont de gauche et qui bossent dur pour s’en sortir, être de gauche ne veut donc pas dire être gauchiste. La vraie gauche est anti-gauchiste, c’est-à-dire anti-trotskiste, et ce sont les trotskistes qui ont bousillé, sciemment, l’université française, qui était un exemple pour le monde entier dans les années 60. Leur pouvoir était à ce prix.
La chute de niveau a aussi arrangé les néolibéraux qui sont venus au pouvoir chez nous au milieu des années 70, qui ont corrompu le socialisme dans les années 80 et perverti la droite nationale dans les années 90. Bref, de la gauche sociétale à la droite libérale, tous ont eu intérêt à détruire l’excellence française et la valeur travail. Les uns ont le pouvoir éducatif et culturel, les autres le pouvoir économique. C’est cette pince gaucho-libérale qui fait aujourd’hui tant de mal à la France.
La mise en place des partiels à distance pose de grandes difficultés aux établissements qui ne parviennent pas à neutraliser les nombreux tricheurs.
Le système est parfaitement rodé. Avant son partiel, Laurie, étudiante à l’université de Lille, prépare son poste de travail : les cours sont judicieusement disposés sur son bureau, le téléphone portable est posé devant elle, et l’ordinateur est à sa place. Sur son téléphone, elle se connecte sur Messenger, l’application de messagerie instantanée de Facebook, et ouvre une conversation dans laquelle sont présents tous les étudiants de sa promotion. Depuis ce matin, les réponses ont déjà commencé à circuler sur le groupe. Sur son ordinateur, elle se connecte au site de son université et termine en quelques minutes seulement, le QCM faisant office d’examen.
« Entre mes cours, Google et les camarades de promo qui publient la moitié des réponses sur Facebook, je suis assez sereine pour l’obtention de mon semestre », lâche l’étudiante, avec un grand sourire.
Comme Laurie, de nombreux étudiants se sont mis à tricher lors des partiels du second semestre, cette année. La raison est simple : à cause de la pandémie de coronavirus, la quasi-totalité des universités ont décidé de faire passer ces examens à distance, laissant ainsi leurs étudiants composer sans aucune surveillance. Depuis quelques semaines, chaque jour, des dizaines de jeunes se vantent même publiquement de frauder lors de leurs partiels.
« J’ai triché à chaque partiel bien salement et je suis fière de mes capacités de tricherie », « Update de mon partiel : j’ai jamais autant triché de ma vie », « J’ai tout préparé pour mon partiel d’esp, je suis prêt pour la maxi triche » : voilà quelques exemples du type de messages que l’on peut lire quotidiennement, sur Twitter.
Valider son année n’a jamais été aussi simple
Lorsque l’on contacte ces jeunes pour les faire témoigner, certains paniquent et suppriment les messages pouvant les incriminer. D’autres, au contraire, assument : non, ils n’ont eu absolument aucun scrupule à tricher, et ils continueront à le faire.
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« Si certains veulent tricher, on ne peut pas y parer » (Sandrine Rui, vice-présidence formation de l’université de Bordeaux)
Pour tricher, les techniques sont nombreuses. Certains passent simplement leurs partiels en consultant leurs cours ou en cherchant les réponses sur Google. D’autres mettent en place des systèmes bien plus élaborés.
« Personnellement, j’ai passé mes partiels confinée avec mon copain. On a fait tous nos examens à deux : le premier lisait les questions pendant que l’autre faisait des recherches sur Internet et donnait les réponses », raconte Chloé, étudiante dans une université de région parisienne. « Avant chaque épreuve, avec une dizaine d’amis de ma promotion, on se connecte sur Discord (une plateforme de discussion très utilisée par les joueurs de jeux vidéo, NDLR). Au fil de l’examen, ceux qui connaissent de manière certaine les réponses les envoient aux autres. Cela permet à tout le monde d’avoir les bonnes réponses », explique Mathilde. Théo et ses camarades étudiants à l’université de Rennes 2 ont même trouvé une technique encore plus rusée.
« On demande à quelqu’un qui abandonne la filière de passer le QCM avec son compte, il copie colle les questions dans un document Word qu’il nous envoie. Cela nous permet de chercher les réponses sur Internet, et enfin, de passer officiellement le test avec notre compte personnel », raconte-t-il.
« Tout le monde triche. C’est démoralisant et inutile. C’était ma première année à l’université et ça m’a sincèrement dégoûté » (Un étudiant)
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